Blogue pour Blanche Bédard et Joachim Gignac

Ce site est pour rappeler la mémoire de mes parents Blanche Bédard et Joachim Gignac. Nous nous remémorons aussi des souvenirs des familles Gignac, Bédard, Pelletier et Myrand. Pour recevoir régulièrement les différents messages, il suffit de s'inscrire pour devenir membre. Merci à l'avance pour vos commentaires et votre participation.


Michel Gignac.


(Les messages sont sujets à être mis à jour sans avis.)


Mise en garde

Plusieurs liens sonores ne semblent plus fonctionner dans certains messages. Mais ils peuvent quand même être écoutés si vous téléchargez l'audio, tel que suggéré en descendant dans la page de 4shared. Il vaut toujours mieux prendre ses précautions lorsque l'on navigue vers des sites qui sont hors du blogue, incluant 4shared. Bien s'assurer de ne cliquer que sur ce que l'on voulait obtenir.

Michel.

Mariage de Blanche et Joachim en 1948

lundi 23 décembre 2019

Un changement de décennie il y a 50 ans

Le 31 décembre 1969, je vivais un événement important : le passage des années 60 à la décennie des années 70.  Dix ans plus tôt, j'avais 7 ans et je n'avais pas eu conscience du changement de décennie. Mais en 1969, je réalisais qu'on était au seuil d'une décade qui allait nous conduire jusqu'en 1980 ;  que serons-nous devenus le 31 décembre 1979 ? Je ne pouvais pas imaginer tous les changements qui se produiraient pendant les 10 ans subséquents. Je me sentais déjà vieux !

Le temps des Fêtes d'il y a 50 ans avait donc un cachet spécial. Au réveillon de Noël, nous avons reçu des amis de ma mère, Adrienne (Genest) et son époux Gérard Couturier. Le souper de Noël, nous l'avons pris chez ma tante Simone Thibault.

Le soir de la Saint-Sylvestre, pendant les émissions humoristiques de fin d'année à Radio-Canada et à Télé-Métropole, j'étais plutôt à l'écoute de la radio afin d'enregistrer, avec mon magnétophone, le décompte et le début de l'ère nouvelle. C'était à notre tour de recevoir la parenté des Bédard pour le souper du Jour de l'an. Voir les deux photos.




Je partage le lien suivant où nous chantions "Nous viderons nos verres" de la Famille Soucy, avec mon père en évidence :

https://www.4shared.com/mp3/yGPzcVSPea/Joachim__la_parent_-_Nous_vide.html

Des visiteurs surprises furent mes cousin-cousine Pierrot Bouchard, Louise Chabot et leurs trois enfants. 1970 était donc commencé, avec toutes les incertitudes sur ce qui nous attendait.

Pour compléter les événements que je rapportais il y a 10 ans, en voici quelques-uns que je n'avais pas mentionnés :

- le 4 décembre 1909 naissait ma tante Dolorosa Derouin (que je n'ai pas connue), future épouse de mon oncle Léonidas Gignac ;
- le 17 novembre 1989, c'était le décès d'André Drolet, neveu de mon oncle Emmanuel Gignac ;
- le 18 décembre 1994, ma mère et moi faisions une visite de condoléances pour Annette Tessier, épouse de Jean-Baptiste Bédard, cousin de ma mère, et
- un souvenir douloureux encore récent : le décès d'Yvon Rhéaume, époux de ma cousine Nicole Gignac, le 12 décembre 2018.
- Il vaut la peine de rappeler le décès de mon grand-père Honoré Gignac il y a 60 ans.

L'abandon des messages réguliers m'a donné le temps de vérifier tous les liens contenus dans la dizaine d'années de messages du blogue. J'ai rétabli ceux que j'ai pu, mais la plupart les liens conduisant à l'extérieur du blogue ne sont plus disponibles.

Voilà le moment spécial de vous souhaiter de joyeuses Fêtes, avec une Noël mémorable et un Jour de l'an annonciateur d'une nouvelle année et d'une nouvelle décennie qui vous seront favorables !

Michel.


mercredi 30 octobre 2019

Après 10 ans d'existence, voici le dernier message régulier du blogue

Le présent message complète un cycle de 10 ans depuis la création du blogue "Blanche et Joachim Gignac" chez Blogspot. (Auparavant, un blogue chez un autre hébergeur avait été supprimé en 2009. )  Commencer un autre cycle consisterait à reprendre à peu près les mêmes informations que 5 ou 10 ans plus tôt, ce qui serait redondant ; ces messages sont encore disponibles grâce aux archives dans la colonne de droite.  Dorénavant je ne ferai plus de messages réguliers, mais je ferai quand même part d'événements importants ou spéciaux.

Jusqu'à maintenant, plus de 40,000 pages du blogue ont été visitées par des internautes ! Le message le plus lu a été la galerie de photos estivales publiée à l'été 2010 et vue par 639 visiteurs. Merci d'avoir maintenu votre intérêt pour mes défunts parents et pour leur parenté.


Pour une dernière fois, voici quelques souvenirs du mois d'octobre :

- Il y a 30 ans décédait mon oncle Joseph Gignac. Son décès survenait le 16 octobre 1989.

- Son épouse Germaine Paquet était décédée 30 ans auparavant, soit le 5 octobre 1959.

Leur photo de couple restera en tête de la page d'accueil pendant le mois de novembre.

- Il y a 75 ans, une tante de ma mère, Sara Berrouard, épouse de Napoléon Pelletier, décédait le 31 octobre 1944.

- En octobre 1984 naissait Annie Thibault, fille de mon cousin Jean.

- Le 11 de ce mois-ci est décédé Michel Lee, époux de Linda Dignard qui était une nièce de ma tante Jeanne-D'arc Savard (Gignac). Michel était aussi un frère de l'un de mes anciens confrères de classe, Jocelyn Lee, devenu directeur de l'Académie Saint-Louis.

En terminant, je m'excuse si j'ai oublié des anniversaires de naissance de parents ou d'événements les concernant. Mes archives n'étaient malheureusement pas complètes. Mais je me permets de saluer tous les membres des parentés Bédard, Pelletier, Myrand et Gignac. On communiquera bientôt ensemble, au sujet de bonnes nouvelles je l'espère. Encore un gros merci !

Michel.
(merci aux personnes qui, au cours du temps, m'ont transmis photos, informations et autres documents)

mardi 8 octobre 2019

Décès du père d'une cousine.

Un avis de décès de René Lapointe est paru. Il était le père de ma cousine Carole Lapointe, épouse de Jean Thibault.

Un service religieux sera célébré :
samedi le 12 octobre à 11 heures,
à l'église Saint-Fidèle (coin 4e Avenue et 12e Rue).

La famille recevra les condoléances :
le même jour, entre 8 h 30 et 10:30,
à la Coopérative des Deux Rives
(Centre funéraire de l'Anse),
280 de la 8e Rue.

Un témoignage de sympathie peut se traduire par un message envoyé à :
www.coopfuneraire2rives.com
et/ou un don à la Société Alzheimer de Québec :
www.societealzheimerdequebec.com

Michel.

lundi 30 septembre 2019

Il y a 20 ans, ma mère et moi passions par toute la gamme des émotions.

Septembre 1999 a été un cauchemar. Depuis quelques jours, ma mère s'étouffait en mangeant. Je l'amenai à l'urgence de l'hôpital Saint-Sacrement où une médecin lui prescrit une gastroscopie à passer trois jours plus tard. Mais on y retourna pour rien, l'examen n'étant pas possible. Et, le jour suivant, le neurologue était absent mais un médecin la tenta, en vain. Ma mère fut hospitalisée.

Deux jours plus tard (dimanche le 12 septembre), elle commença à être fiévreuse. Une médecin m'amena dans le corridor pour me demander si on devait faire de l'acharnement pour la réanimer, advenant un arrêt cardiaque possible si la fièvre ne baissait pas. Je répondis négativement et je passai une mauvaise fin de journée. Le lendemain j'appris que la température avait baissé mais, le mercredi, on avoua que l'état de ma mère était encore précaire car elle faisait une pneumonie. J'étais effondré...

Le jeudi, on devait essayer de lui mettre un tube de gavage dans l'estomac mais, quand j'arrivai dans sa chambre, on lui avait fait passer plutôt un tube dans le nez pour l'alimenter. Elle commença à avaler du liquide et même du solide. C'était la réjouissance ! Je compris que la myasthénie (maladie des muscles) de ma mère, dont elle avait souffert en 1987, s'était aggravée et causait les étouffements, mais elle était à nouveau contrôlée.

Malgré des vomissements et un retour de la fièvre le vendredi, elle recommença à se nourrir. Mais elle arrachait son tube et elle se vit imposer des contentions (photo) aux bras. Après une semaine en gériatrie, j'avais l'impression qu'elle paralysait. Je constatai avec colère que le personnel ne lui faisait plus prendre d'aspirines. Le lendemain (28 septembre), m'attendant au pire, je trouvai ma mère bien comme elle ne l'avait pas été depuis longtemps ; elle mangeait même par elle-même. Autre jubilation !

Une semaine et demie plus tard, elle fut de retour à la maison. Si j'avais su que la source du problème était la myasthénie, je n'aurais pas amené ma mère à l'hôpital et son médecin familial aurait augmenté la dose de son médicament. Au moins, les inquiétudes cessèrent pendant près de trois saisons par la suite.

Revenons en 2019 pour célébrer un anniversaire important pour mon cousin Jacques Bouchard, né le 30 septembre 1939 !

Un événement passé à souligner, auquel mes parents ont assisté, est la célébration  des noces d'argent de Paul-Henri Boutet (le frère d'un cousin à mon père) et Yvette Guay il y a 50 ans, précisément le 6 septembre 1969.

Bon automne !
Michel.

mercredi 11 septembre 2019

Décès de la mère de ma cousine Diane Guérard

Mon cousin Yvan Gignac nous a informés que la mère de son épouse Diane Guérard est morte. Âgée de 95 ans à son décès, Claire Morency était l'épouse de feu Roger Guérard.

Ses funérailles auront lieu :
samedi le 14 septembre,
à 11 heures,
à l'église Saint-Sauveur,
215 avenue des Oblats.

Les condoléances pourront être offertes à la famille à compter de 10 heures.
Elles peuvent aussi se traduire par un don à la Fondation de L’IUCPQ (Hôpital Laval).

Michel.


jeudi 29 août 2019

Nouvelle galerie de photos des vacances.

Voici qu'arrive déjà en août la galerie annuelle de photos (quelques-unes floues) des vacances passées.

Près d'un an après leur mariage, soit en 1949, mes parents sont photographiés au Jardin zoologique d'Orsainville :

Il y a 60 ans, l'été de 1959 avait été l'occasion de visiter les parentés, et même que de passer quelques jours consécutifs au chalet de ma tante Marguerite Bédard (Alain) à Valcartier. Nous étions donc allés aussi à ceux de mes oncles Joseph Gignac au Lac Saint-Augustin, Albert Gignac à l'Ancienne-Lorette et Jean-Marie Gignac au Lac Saint-Charles. C'est à ce dernier endroit que se situe cette photo où je suis accompagné de mon père, de René Drolet et sa fille Lise, de mon oncle Jean-Marie avec son fils Gilles et de ma tante Jeanne-D'Arc Savard (Gignac) :

Cinq ans plus tard, nous faisions, en compagnie de René, Lauretta et Lise Drolet, un second voyage à Rivière-du-Loup. J'avais en main ma précieuse radio-transistor (c'est peut-être celle-là que je m'étais fait voler en l'ayant laissée sans surveillance sur une tablette de fenêtre sur la rue Arago) :

Un autre 10 ans plus tard, en 1974, on se retrouve à Sainte-Anne-de-Beaupré :

Il y a 40 ans, ma mère avait eu le plaisir en cet été 1979 de voyager au Zoo d'Hemingford et aux États-Unis dans la petite ville de Champlain et de visiter sa cousine Colombe Pelletier à Montréal, où nous nous étions aussi rendus à Terre des Hommes :

En 1984, je tenais à ce qu'on se rende, entre autres, au Planétarium de Montréal :

Toujours de 5 ans en 5 ans, Ottawa a été notre destination il y a 30 ans. Ma mère est ici près du Parlement fédéral :

Enfin il y a 25 ans, après une courte randonnée dans la région du Richelieu, voici ma mère dans notre chambre d'hôtel à Montréal en 1994 :

Pour ce qui est des anniversaires en août, je n'ai en archives que les deux funérailles du 15 août 2009.  Mes cousins Thibault ne pouvaient pas assister aux deux, celles de Laurette DesRivières (Thibault) (décédée le 12 août) ayant lieu à Montréal, et celles de Suzanne Talbot (Lapointe) (décédée le 9 août) étant célébrées à Limoilou.

On amorce le dernier droit de la décennie des années 2010 et une nouvelle décennie pointe à l'horizon, qu'on va se souhaiter bénéfique !

Michel.
(merci à Liliane Gignac pour la photo de 1959)


jeudi 25 juillet 2019

Fête de mon père et décès d'une tante il y a 40 ans.

Il y a 40 ans, le 7 juillet 1979, décédait ma tante Simone Bédard (Thibault). C'était donc exactement 6 mois après le décès de mon père. Ma mère perdait donc deux personnes chères en l'espace de quelques mois. Le 26 juillet de cette année-là était donc le premier anniversaire de naissance de mon père Joachim (photo de 1960) après son décès. En souvenir de sa bonne heure, voici l'audio, lors de la veillée de ma fête en 1965, d'une danse carrée qu'il accompagnait au tam-tam :
https://www.4shared.com/mp3/GTr2FRl_da/Joachim_accompagne_au_tam-tam_.html








La photo de ma tante Simone demeurera donc en tête de la page d'accueil du site pendant le prochain mois. Voici d'autres anniversaires, plus ou moins joyeux :

- Aussi en 1979, mais le 28 juillet, Gilles Gignac, fils de Bruno, épousait Céline Tremblay.

- Autre mariage : celui, il y a 90 ans le 29 juillet, de mes oncle et tante Lucien Gignac et Lucienne Richard.

-  20 ans plus tôt, la soeur de Lucien et de ses frères et soeurs, Marthe Gignac, décédait à l'âge de 9 mois le 25 juillet.

- Le 2 juillet, ma cousine Murielle Gignac célébrait un important anniversaire pour sa naissance sur la rue Montmagny.

- Il y a 60 ans naissait ma cousine Hélène Gignac, le 17 juillet 1959.

- Avançant en 1999, une cousine de mon père, Marguerite Myrand, décédait le 6 juillet d'il y a 20 ans.

Une bonne nouvelle pour terminer, le défilé des Fêtes de la Nouvelle-France est de retour après une absence d'un an. Les Percussions et Cuivres L'Alouette de Québec de mes cousin-e Robert et Bérangère Gignac participeront à la parade qui se mettra en marche à l'hôtel du Concorde sur la Grande-Allée à 19:00 le premier août.

Bonnes festivités !
Michel.


samedi 29 juin 2019

Bérangère Gignac (Roussin) en route vers le 50e anniversaire de l'AFEAS de Charlebourg

Ma cousine Bérangère Gignac (Roussin) dirige lAssociation féminine d’éducation et d’action sociale (AFEAS) de Charlesbourg vers le 50e anniversaire de l'organisme en 2020. Dans le Charlesbourg Express, en tant que présidente, elle exprime un souhait : «On a besoin de relève. Les besoins des femmes de nos jours sont différents, on veut les entendre, on veut connaître leurs besoins et travailler dans leur intérêt.»



D’ici-là, l’organisme sans but lucratif, dont la plus jeune membre a 64 ans, continuera à être la voix des femmes de Charlesbourg. La journaliste Perrine Gruson rappelle que c'est une douzaine de femmes qui ont lancé l’antenne locale d’Orsainville en 1970. Les membres de la section locale reçoivent des conférencières tout comme des formations sur la communication orale et verbale ou encore sur le fonctionnement d’un conseil d’administration. À raison d’une rencontre par mois, d’un club de lecture et de rencontres-déjeuners amicales, les 25 membres travaillent pour la valorisation des femmes.Toutes les femmes sont les bienvenues pour faire valoir leurs idées et ainsi aider le conseil d’administration à travailler pour toutes les femmes de Charlesbourg.

Pour se rafraîchir la mémoire sur les réalisations de l'AFEAS, veuillez suivre le lien suivant d'un ancien message :
https://michelgignac.blogspot.com/2016/09/ma-cousine-berangere-preside-lafeas-de.html
et, pour lire l'article du périodique :
https://www.quebechebdo.com/local/journal-charlesbourg-express/171881/lafeas-de-charlesbourg-en-quete-dune-releve/

Voici quelques événements survenus en juin dans les années passées :

- Il y a quarante ans, nous offrions une fête surprise à mes cousin-e-s Jean Thibault et Carole Lapointe, à leur domicile, à l'occasion de leur cinquième anniversaire de mariage ! C'était le 2 juin 1979.

- Le 6 juin 2009 décédait Aline Martineau (Gignac), épouse de mon cousin André Gignac.

- Cinq ans plus tard, soit le 28 juin 2014, nous quittait Line Lapointe (Potvin), fille de ma cousine Pierrette Bouchard (Lapointe). 

Bon été !
Michel.

vendredi 14 juin 2019

Fêtes des pères : photos des 7 frères Gignac

À la Fête des mères, il ne me restait pas de photos non encore publiées où se trouvaient les 4 soeurs Bédard ; alors je les avais montrées sur deux photos différentes. Maintenant pour la Fête des pères, il me reste encore plusieurs photos de mariages où figurent ensemble (ou presque) les 7 frères Gignac (leur soeur Cécile se trouve rarement sur les photos, étant décédée longtemps avant eux).

Suggestion : cliquer sur les photos pour les agrandir.

Voici deux photos de mariage de 1951 environ, celui de mon cousin Roger Gignac et celui de ma cousine Aline Gignac (tous deux enfants de mon oncle Léonidas Gignac) où se trouvent les frères Gignac, mon oncle Emmanuel étant absent de la première :



Je vous laisse deviner où ils sont sur les photos ! Sur les suivantes aussi. Sur la photo de mariage de mon oncle Albert Gignac, de 1943, seul mon oncle Joseph est absent (de la partie de droite de la photo aussi).


Enfin, la photo de mariage de ma tante Cécile Gignac, en 1940, plus floue, montre ses 7 frères plus difficiles à identifier :


Une fois mon oncle Léonidas décédé, en 1958, il n'était bien sûr plus possible de voir le septuor au complet sur une même photo. 

Bonne Fête des pères 2019, peut-être une occasion de sortir nos photos pour nous rappeler de bons moments !

Michel.
(merci à Liliane Gignac pour quelques-unes de ces photos) 




mercredi 29 mai 2019

Un cousin "miraculé" !

Je rapporte rarement l'état de santé des membres de la parenté ; je respecte le fait que certain-e-s  préfèrent la discrétion à leur sujet. Mais concernant mon cousin Conrad Gignac, l'évolution de son cas est tellement réjouissante que je fais une exception.

Sans entrer dans les détails, je mentionne que tellement de problèmes sont survenus presque en même temps : les jambes, les reins, le foie(?), le coeur... Ses reins ont fonctionné très lentement pendant quelques semaines, ce qui nécessita des dialyses. Et puis, subitement semble-t-il, ils se sont remis à fonctionner correctement. Les médecins sont éblouis de cette soudaine guérison !

Son bon moral y est sûrement pour quelque chose. Il m'avait dit qu'on n'aurait pas facilement raison d'un Gignac ! Au nom des membres de la parenté, je lui souhaite un prompt rétablissement, mais c'est peut-être déjà chose du passé !

Pour terminer le mois de mai, je rappelle que, le 30 mai 1969, mon oncle Alphonse Alain épousait Emma Alain. À cet événement d'il y a 50 ans se rajoutent d'autres anniversaires mais qui ne correspondent pas à un "chiffre" rond, comme la naissance de ma cousine Denise Boies il y a 85 ans le 17 mai.

Le printemps s'écoule rapidement et je me trouve gâté car j'aime sa température (ni trop chaude, ni trop froide). On verra à la Fête des pères s'il se sera poursuivi sur cette même lancée !

Michel.
(merci à Bérangère et Robert Gignac pour la photo).


samedi 11 mai 2019

Photos de ma mère et de ses soeurs pour la Fête des mères

Pour la Fête des mères, il convient bien de partager des photos, que je pense ne pas encore avoir publiées, de ma mère et de ses trois soeurs (Bédard).

D'abord Marguerite (à gauche) et Jeanne (à droite) vers 1910 :


 Et Simone, avec ma mère Blanche avant son mariage, donc vers 1947 :


Ma mère a toujours une chanson prête à être entendue ; c'est une chanson de circonstance puisqu'elle s'intitule "Bénis ô tendre Mère (nous voulons Dieu)" !

https://www.4shared.com/mp3/kTvQRcK5ee/Blanche_chante_Bnis__tendre_Mr.html

J'espère pouvoir faire l'équivalent à la Fête des pères le mois prochain.

Sur ces beaux souvenirs, je nous souhaite une nouvelle Fête des mères qui fera partie aussi de nos beaux souvenirs !

Michel.

lundi 29 avril 2019

"Gignac", "Notre-Dame-de-Grâce" et "Disque" réunis en France !

On sait que la famille Gignac et la paroisse Notre-Dame-de-Grâce sont passablement reliés, et aussi que la musique et les disques sont d'un grand intérêt pour la plupart des membres de la famille Gignac.

C'est un peu par hasard que je suis tombé sur un fait qui m'a beaucoup surpris et fait rire : il y a, ailleurs qu'à Québec, un autre endroit dans le monde où "Gignac" et "Notre-Dame-de-Grâce" sont réunis !  Pour cela, on peut se rendre en France, qui comporte une commune (sorte de village) appelée Gignac où on trouve une église nommée Notre-Dame-de-Grâce !!! Voici une carte de la Commune de Gignac où est située l'église Notre-Dame-de-Grâce, vers le bas, au milieu (cliquer sur les images pour les agrandir) :


Comme situation, on donne que "Gignac" se trouve dans l'Hérault, qui est l'un des 5 départements de la région française appelée le Languedoc (ou Occitanie). L'image suivante montre en arrière-plan l'église Notre-Dame-de-Grâce, construite au début des années 1600, à un endroit de pèlerinage où un miracle se serait produit en 1360 :


Cette "paroisse" comporte aussi une école Notre-Dame-de-Grâce de même qu'un chemin de croix qui se termine par une chapelle. Voici l'intérieur de l'église :


La Commune de Gignac, à gauche sur la carte suivante, est située très près de Montpellier qui, à son tour, est proche de Marseille (dans le sud-est de la France) comme le prouve la carte subséquente :




Et le "disque" dans tout ça ? Je n'en croyais pas mes yeux quand j'ai vu qu'il y a une "Route du Disque" qui conduit à "Gignac" !!! Sur cette dernière carte qui suit, on voit la Route du Disque complètement en haut à droite, qui va rejoindre l'Avenue de Gignac (en bas à gauche), laquelle se rend à la Commune de Gignac :


Si je fais un autre voyage en France un de ces jours, j'aimerais bien me promener et écouter de la musique sur la Route du Disque, qui me conduirait à la Commune de Gignac pour visiter l'église Notre-Dame-de-Grâce. J'aurais sans doute l'impression de me sentir un peu chez moi !

En terminant, je rappelle trois événements survenus en avril :
- Il y a 5 ans décédait Marie-Ange Defoy (Dumas) à 101 ans, soit le 2 avril 2014.
- Mon cousin Jean-Marie Gignac, fils de Joseph Gignac, naissait il y a 90 ans, le 5 avril 1929.
- Ma tante Simone Thibault nous recevait, ma mère et moi, pour un dernier souper de Pâques le 15 avril 1979, trois mois avant de décéder.

Bon mois de mai !
Michel.

samedi 30 mars 2019

Décès du beau-frère du fils de Bruno Gignac.




Un membre de la famille Boily m'a informé du décès de Réjean Tremblay, sympathique ancien confrère de classe à l'école primaire Notre-Dame-de-Grâce (photo). Il était beau-frère de Gilles Gignac, fils de Bruno Gignac, cousin de mon père. Réjean était le frère de Céline Tremblay (décédée elle aussi) qui était l'épouse de Gilles Gignac.






Une liturgie de la parole aura lieu :


samedi le 11 mai à 14 h.

à la Coopérative des Deux Rives
1420 Boul. Wilfrid-Hamel
et sera suivie par l'inhumation des cendres au cimetière Saint-Charles.

Un don à la Fondation de l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec peut être fait en son honneur.






Plusieurs autres décès ont assombri les mois de mars du passé. Outre ceux de ma mère et de Jean-Guy Lapointe en 2004, rappelons :

Yolande Grondin, épouse de Jacques Bouchard, le 13 mars 2009,
Micheline Duchesneau, épouse de Jean-Paul Bouchard, dont les funérailles furent célébrées le 6 de ce même mois de 2009,
Alphonsine ("Fonsine") Pelletier (Picard), cousine de ma mère, quinze ans plus tôt soit le 9 mars 1994,
Jules Beaulieu, maire de Sillery et époux de Thérèse Gignac, un autre 15 ans plus tôt, soit le 30 mars 1979,
Daniel Thibault, beau-père de Simone Bédard, vers le 3 mars 1969,
Adélard Picard, époux de Marie-Rose Pelletier, le 13 mars 1944.

Heureusement, une fête a égayé le mois de mars 1999, lorsque ma tante Gemma Defoy (Gignac) donna une veillée à la brasserie de son fils Raynald, le samedi de la semaine précédent la célébration de Pâques du 4 avril.

Joyeuses Pâques si on ne communique pas d'ici là !

Michel
(à venir : y a-t-il "Gignac", "Notre-Dame-de-Grâce" et "Disque" réunis quelque part ailleurs dans le monde ?)





mardi 19 mars 2019

Décès de mon cousin Jean-Claude Bouchard.

Comme mon cousin Jacques Bouchard m'en a informé, son frère Jean-Claude est décédé le 12 mars, à 82 ans. Il était le frère de Pierrette, Pierrot et Jean-Paul, maintenant décédés, et aussi de Jacques, Gilles et Simone.

L'avis de décès révèle que sa famille (Gisèle Gagnon, son épouse, ainsi que Annie et Éric, ses enfants) "désirant vivre ce moment dans l’intimité, il n’y aura pas de cérémonie officielle".

Un don en son honneur peut être effectué à l’Association pulmonaire du Québec.


Pour renseignements : Coopérative funéraire des Deux Rives.

Michel.

lundi 11 mars 2019

Ma mère décédait il y a 15 ans.

Après le décès de mon père survenu il y a 40 ans, c'est ma mère qui est décédée il y a 15 ans, soit le 12 mars 2004 (photo de l'avis de décès). Excusez-moi de donner plus de détails que lors de mon message de 2014 ; c'est un peu pénible d'en prendre connaissance, en effet.

L'année 2003 s'était assez bien déroulée, ma mère ne faisant aucun séjour à l'hôpital. Il en fut de même pour la fête de son 92e anniversaire, le 11 janvier 2004 ; j'ai essayé de prendre une photo, avec sa travailleuse sociale Mme Guérard qui était venue ce jour-là, mais le film était rendu vers la fin et cette photo ne fut malheureusement pas développée.

Un mois plus tard, soit le 11 février, ma mère connut une paralysie du côté gauche, à cause d'un troisième AVC important. Sa jambe ne pouvait dorénavant plus la supporter. Son médecin jugea préférable qu'elle demeure quand même à la maison.

Un autre mois plus tard, le 11 mars, ma mère donna des signes de fin de vie. Moins d'une semaine auparavant, j'avais découvert qu'elle avait une première plaie de lit. Ses nuits devenaient inconfortables dans son lit et je l'installai souvent plutôt dans son fauteuil. L'avant-veille du 11 mars, elle commença à bloquer la nourriture et les breuvages avec sa langue et ses lèvres.

Le matin du jeudi 11 mars, son médecin vint la voir et un infirmier arriva pour soigner ses plaies de lit. Ma mère s'endormait pendant les repas et je dus retarder son dîner. Pour son souper, ce soir-là, elle dormait profondément à 20 h. et j'attendis. À 23 h 30, je ne pouvais pas la réveiller et elle respirait très rapidement. Au téléphone, une infirmière me suggéra de laisser passer la nuit pour voir comment elle serait le lendemain matin.

Le 12 mars au matin, ma mère étant encore dans le même état de coma, j'appelai son médecin, qui me conseilla de la faire transporter par ambulance à l'hôpital du Saint-Sacrement où, dit-il, on sait quoi faire pour les derniers instants. Je la retrouvai, à l'urgence, dans un cubicule ouvert où, en larmes, j'ai eu de la difficulté à répondre aux questions d'une infirmière et d'un médecin. Il fut décidé de la transférer dans un local fermé en attendant qu'elle soit montée à une chambre. Pendant le déplacement, j'allai faire un appel téléphonique. De retour à l'urgence, l'infirmière en chef m'annonça que ma mère était décédée et elle resta quelques minutes avec moi. Quand elle quitta, elle me dit de prendre tout mon temps. Je ne pouvais arrêter de pleurer. Je pus finalement me contrôler et revenir à pied à la maison.

J'avais le choix entre pleurer toute la fin de semaine, ou être actif en commençant les démarches même si c'était vendredi après-midi. Je pus me rendre au presbytère de l'église Jacques-Cartier pour faire les arrangements des funérailles fixées au mardi suivant. De plus, je décidai de créer un premier site internet pour rappeler des souvenirs de mes parents. Comme l'avis de décès allait paraître le lundi dans les deux quotidiens, où j'indiquais l'adresse du site, il fallait que je construise rapidement leurs biographies. C'est le dimanche que je fis mes appels pour informer les membres de la parenté des Gignac et des Bédard. J'appris à ce moment-là que mon cousin Jean-Guy Lapointe était décédé le même jour que ma mère, ce qui s'ajoutait aux malheurs.

Aux funérailles du mardi 16 mars en après-midi, je fus réconforté de constater que chaque famille Bédard et Gignac était représentée. Il y avait même la présence de membres de la famille Defoy élargie. Pendant la messe à l'église (photo), j'ai eu envie de crier ma révolte ; heureusement ce sont des larmes qui ont coulé à la place. Plusieurs cousins et cousines m'accompagnèrent au Jardin du repos (la Souvenance) pour la dernière prière. Ce fut agréable de recevoir à la maison mes cousines Simone Bouchard, Nicole Gignac et Lise Drolet de même que son conjoint Jacques Thibault. Une cousine de ma mère, Colombe Pelletier, venue de Montréal, participa à toutes les étapes avant de quitter pour retourner dans la métropole.

92 années d'expériences se sont donc envolées... Sa photo restera en tête de la page d'accueil pendant le mois.

Michel. 

mardi 26 février 2019

Les baptêmes de mes cousins André et Gaston Gignac étaient annoncés dans "La Bonne Nouvelle"

"La Bonne Nouvelle" ayant été le journal de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce, où demeurait mon grand-père Honoré Gignac avec sa famille, il est naturel qu'il y fut question de faits concernant la parenté. Par exemple, j'ai rapporté en octobre dernier la naissance de mon cousin André Gignac. La "Bonne Nouvelle" faisait souvent le bilan de quelques mois de baptêmes et c'est dans l'édition du 24 janvier 1934 que celui d'André fut annoncé :


En particulier on observe pour le 11 octobre la cérémonie pour André :


Pour but de référencement, on indique les parents : Joseph Gignac et Germaine Paquet, de même que les parrain et marraine : Léonidas Gignac et Cécile Gignac. Les deux n'avaient pas de conjoint à ce moment car mon oncle Léonidas avait perdu son épouse Dolorosa Drouin pendant l'année et ma tante Cécile n'était pas encore mariée.

De la même façon, le baptême de Gaston Gignac (dont les récentes funérailles ont été fort émotives) avait été rapporté dans le journal le 28 mars 1931 :


Le parrain fut mon grand-père Honoré et la marraine, ma grand-mère Léocadie Myrand, comme pour moi. Le nom de Gaston fut "Joseph Magella Gaston Gignac".

Pour rester dans la famille, une photo des jeunes paroissiens en retraite fut publiée le 5 décembre 1925 dans la "Bonne nouvelle" :


On y reconnaît mon oncle Joseph Gignac. Je vous laisse la chance de deviner où il est situé ! Indice : il est sur la deuxième rangée à partir du haut.

Mon grand-père Honoré Gignac profitait de l'opportunité pour payer une annonce concernant son commerce en tant que "entrepreneur général et marchand de bois", comme dans celle-ci du 20 juin 1931.


J'essaierai de publier d'autres extraits de ce périodique, concernant la parenté.

Terminons le mois de février par trois décès :
- À peine un peu plus d'un mois après le décès de mon père, la série noire se poursuivait par celui de René Drolet, beau-frère de ma tante Jeanne-D'Arc Savard (Gignac), le 15 février d'il y a 40 ans.
- Plus récemment, soit il y a 15 ans le 25 avril 2009, décédait ma cousine Micheline Duchesneau, épouse de mon cousin Jean-Paul Bouchard.
- Il y a 60 ans, c'était le décès de Lauréat Boutet le 27 février 1959, époux d'une cousine de mon père, Marie-Anna Robitaille.

Bon courage pour la fin de l'hiver !

Michel.
(merci à Daniel Therrien et Simonne Dumont pour les Bonne Nouvelle)


samedi 2 février 2019

Cérémonies pour Gaston Gignac

Voici les détails des cérémonies pour Gaston:


Les sympathies seront offertes à la famille au salon de la Coop des deux rives (7335, boul. Henri-Bourassa), les :

15 février (vendredi) 18.30 hres à 21 hres

et 16 février (samedi) 9 hres à 10.30 hres.



Les funérailles se dérouleront à l'église St-Charles-Borromée, 7990 1e Avenue (près du boulevard Louis-XIV) à 11.00 hres.



Un don peut être offert à la Société Alzheimer de Québec.

Michel.

mercredi 30 janvier 2019

Décès de mon cousin Gaston Gignac.





Mon cousin Robert Gignac m'a informé que son frère Gaston Gignac est décédé. Il a succombé à une longue maladie. Les détails concernant les funérailles seront ajoutés lorsque connus.  (La photo date de 1997.)




Le mois de janvier continue d'être passablement funèbre, si on considère ces autres décès du passé, en plus de celui de mon père en 1979 :

- Mon cousin Roger Alain décédait le 14 janvier 2014, donc il y a déjà 5 ans.
- Il y a 50 ans nous quittait Émilia Girard (Defoy), la mère de mes tantes Bertha et Gemma et de mon cousin Albert Defoy. C'était vers le 24 janvier 1969.
- Un 21 janvier, il y a 100 ans, décédait mon arrière-grand-mère Rose Bertrand, épouse de Louis Pelletier.

Un événement joyeux avait lieu le 2 janvier 1939 : la naissance d'André Drolet, neveu de mon oncle Emmanuel Gignac et frère de ma cousine Lise Drolet (Thibault). C'était il y a 80 ans.

À suivre.

Michel.


dimanche 6 janvier 2019

Décès de mon père et triste fête de ma mère en 1979


Après un Noël et un Jour de l'an non fêtés, l'année 1979 a commencé par le décès de mon père le 7 janvier. Mes oncles Jean-Marie et Emmanuel Gignac ont fait preuve de beaucoup d'empathie en visitant souvent mon père à l'hôpital, conduits par mes cousins Yvan, Réjean et/ou Raynald Gignac.

Les funérailles de mon père se sont déroulées trois jours plus tard, soit le 10 janvier 1979, à l'église Notre-Dame-de-Grâce. Après l'inhumation au Jardin du repos (la Souvenance aujourd'hui), ma tante Simone Thibault nous a reçus à dîner, ma mère et moi. (La photo de mon père à ses noces d'argent restera en tête de la page d'accueil pendant le mois.)

Je ne veux pas être morbide, mais je réalise que les décès de mon père et de ma mère sont survenus avec des ressemblances frappantes. Ils sont tous deux entrés dans un coma accompagné d'une respiration forte et rapide (qu'on appelle une détresse respiratoire, je pense) ; et ils sont décédés pendant qu'ils recevaient des soins et qu'ils étaient déplacés, en mon absence. Le jour où le docteur Lucien Roy nous apprit que mon père vivrait ses dernières Fêtes, un ressort s'est cassé en moi et je n'ai plus jamais été le même par la suite.

Le lendemain des funérailles, ce fut l'anniversaire de naissance de ma mère, dans une atmosphère de tristesse. De plus pendant l'exposition au Salon funéraire Marceau, son manteau de fourrure de même que celui de ma tante Bertha Defoy (Gignac) avaient été volés.

Mais il fallait continuer à vivre et ma mère allait connaître 25 autres fêtes plus joyeuses ! (La photo date de 1979.) D'ailleurs elle nous offre son improvisation d'un autre cantique, "Volons volons mon âme" faite en 1982 :

https://www.4shared.com/mp3/qEljJ6Tfgm/Blanche_chante_Volons_volons_m.html

Nous rappellerons d'autres événements de janvier à la fin du mois. À bientôt !

Michel.