Comme j'ai fait il y a cinq ans, je ne vais pas traiter souvent des années 2000 à 2004. Le but du site est de rappeler surtout des souvenirs joyeux ; c'est pourquoi je me contenterai de souligner brièvement quelques événements, dont la grosse paralysie subie par ma mère le 6 juin 2000. Cela faisait quelques semaines que le Foyer Notre-Dame-de-Lourdes venait la chercher chaque mardi matin pour y dîner et faire quelques activités. Mais elle revenait épuisée. J'aurais préféré qu'elle reste à la maison mais le CLSC et son médecin trouvaient des avantages à ce qu'elle reçoive des stimulations. Est-ce que ce fut la cause de son ACV ? Je l'ignore.
À l'hôpital Saint-Sacrement, ma mère demeura presque un mois pendant lequel elle fit un séjour dans la section de gériâtrie. Je décidai de la ramener à la maison plutôt que de la laisser à l'hôpital en attente d'une place dans un foyer. Je ne le regretterai pas. Des auxiliaires du CLSC vinrent pendant quelques mois pour lui donner le bain, le temps que je m'habitue aux nouvelles tâches.
Toujours en juin :
Il y a 15 ans, soit le 14 juin 1995, décédait mon oncle Albert Gignac. Sa photo sera en tête du site pendant le mois de juillet.
Le 13 juin 1970 avait lieu le mariage de mon cousin Conrad Gignac.
C'est dans ce même mois de 1970 que nous avons commencé à jouer au mini-putt dans notre cour sur la rue Arago. Inspirées par cette activité populaire depuis quelque temps au chalet de mon oncle Jean-Marie Gignac au Lac Saint-Charles, ma tante Jeanne-D'Arc et sa soeur Lauretta Drolet était descendues un soir avec une cuiller pour creuser des trous parmi les cailloux. Mon père avait un pieu qui convenait mieux pour confectionner des trous de golf ! Ce fut le départ pour six étés d'amusement avec ce que l'on appelait le "caillou-putt" ! Voir la photo, prise en 1973.
Il ne faut pas oublier le décès encore récent de ma cousine Aline Martineau, épouse d'André Gignac, il y a un an, c'est-à-dire le 6 juin 2009.
À toutes et tous, un bon été !
Michel.
mardi 29 juin 2010
vendredi 18 juin 2010
Un défilé pour la Fête des pères, il y a 40 ans.
La Fête des pères en 1970 avait été un peu spéciale. En ce dimanche après-midi avait eu lieu le défilé du "Congrès de la Fédération interdiocésaine des gardes paroissiales du Canada". Il avait descendu la Côte d'Abraham pour prendre la rue de la Couronne.
Notre Garde Sainte-Jeanne-D'Arc à Notre-Dame de Grâce n'existait plus ; six membres avait rejoint la Garde Montcalm de Notre-Dame de Pitié. Je me souvenais de la fois précédente où le défilé avait paradé aussi à Québec : c'était en 1958 (j'avais 6 ans ! ) et il était passé sur le Chemin Sainte-Foy, si j'ai bonne mémoire.
Mes parents avaient préféré aller passer l'après-midi et souper au Lac Saint-Charles, au chalet de mon oncle Jean-Marie Gignac, où ils avaient amené Lise Drolet et son amie Monique Richard. Ils avaient joué au mini-putt, probablement avec les parents de Lise et avec mon oncle Emmanuel et ma tante Jeanne-d'Arc.
"45" n'est pas un nombre aussi magique, mais le recul de 45 ans me permet de faire entendre trois extraits où mon père avait chanté. C'était le 16 mai 1965, à l'occasion du souper (voir la photo) et de la veillée de ma communion solennelle qui avait eu lieu trois jours plus tôt. Ma cousine Diane Gignac, qui avait fait sa communion en même temps que moi, était présente alors que j'avais participé au dîner que ses parents (Emmanuel) avaient donné pour nous.
Les familles de mes tantes Simone Thibault et Jeanne Bouchard étaient présentes et accompagnaient mon père. Voici les trois liens sur lesquels vous pouvez cliquer :
- Joachim chante Le Cycle du vin
- Joachim chante Ô ma Reine
- Joachim chante Prendre un p'tit coup c'est agréable
Joyeuse Fête des pères !
Michel.
(site familial : http://michelgignac.blogspot.com
site des documents : http://www.4shared.com/dir/3jnmcAwG/BlancheJoachim.html)
Notre Garde Sainte-Jeanne-D'Arc à Notre-Dame de Grâce n'existait plus ; six membres avait rejoint la Garde Montcalm de Notre-Dame de Pitié. Je me souvenais de la fois précédente où le défilé avait paradé aussi à Québec : c'était en 1958 (j'avais 6 ans ! ) et il était passé sur le Chemin Sainte-Foy, si j'ai bonne mémoire.
Mes parents avaient préféré aller passer l'après-midi et souper au Lac Saint-Charles, au chalet de mon oncle Jean-Marie Gignac, où ils avaient amené Lise Drolet et son amie Monique Richard. Ils avaient joué au mini-putt, probablement avec les parents de Lise et avec mon oncle Emmanuel et ma tante Jeanne-d'Arc.
"45" n'est pas un nombre aussi magique, mais le recul de 45 ans me permet de faire entendre trois extraits où mon père avait chanté. C'était le 16 mai 1965, à l'occasion du souper (voir la photo) et de la veillée de ma communion solennelle qui avait eu lieu trois jours plus tôt. Ma cousine Diane Gignac, qui avait fait sa communion en même temps que moi, était présente alors que j'avais participé au dîner que ses parents (Emmanuel) avaient donné pour nous.
Les familles de mes tantes Simone Thibault et Jeanne Bouchard étaient présentes et accompagnaient mon père. Voici les trois liens sur lesquels vous pouvez cliquer :
- Joachim chante Le Cycle du vin
- Joachim chante Ô ma Reine
- Joachim chante Prendre un p'tit coup c'est agréable
Joyeuse Fête des pères !
Michel.
(site familial : http://michelgignac.blogspot.com
site des documents : http://www.4shared.com/dir/3jnmcAwG/BlancheJoachim.html)
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