Blogue pour Blanche Bédard et Joachim Gignac

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Michel Gignac.


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Michel.

Mariage de Blanche et Joachim en 1948

mercredi 30 décembre 2015

Julie, filleule de ma mère, est née une veille de Jour de l'an.

Parmi les Jours de l'an passés, celui de 1986 a été un peu particulier. Ma mère et moi étions allés dîner au restaurant Marie-Antoinette du Boulevard Sainte-Anne. Puis nous étions allés veiller chez mon cousin Jacques Thibault. Il y avait des absences remarquées : celles de son frère Jean Thibault et sa famille. Carole Lapointe, l'épouse de Jean, venait la veille de donner naissance à un quatrième enfant, Julie, qui allait avoir ma mère comme marraine. La tante de Jean et Jacques, Gertrude Thibault, était présente. Nous avons ramené en ville Lauretta Drolet, mère de notre hôtesse Lise.

Quelques jours plus tard, nous sommes allés à l'hôpital visiter la nouvelle-née et sa mère.

Quinze ans plus tard, en janvier, ce sont Julie Thibault et ses parents qui sont venus visiter ma mère à la maison. Sur la photo, elle avait beaucoup maigri, suite à la sévère paralysie qui l'avait terrassée six mois plus tôt, en juillet 2000.


En plus de cette naissance d'il y a 30 ans, les mois de décembre passés ont été marqués aussi par d'autres faits :

- L'an passé, le service anniversaire de ma cousine Hélène Gignac était chanté, le 27 décembre.

- Mon cousin Gaston Alain décédait il y a 10 ans, le 19 décembre 2005.

- Deux fiançailles au réveillon de Noël 1970 : mon cousin Yvan Gignac avec Diane Guérard, et ma cousine Nicole Gignac avec Yvon Rhéaume.

- Il y a 110 ans, mon oncle Lucien Gignac naissait, le 10 décembre.

Pour accompagner mon souhait de Bonne année 2016 à l'intention de vous tou-te-s, une chanson à répondre n'est-elle pas de circonstance pour un Jour de l'an ?  Alors par la magie d'un enregistrement sonore (des années 80), ma mère nous offre "Et moi de m'en courir", aussi appelée "Et moi je m'enfuyais" :


Michel.

mercredi 23 décembre 2015

Un autre beau cadeau de Noël il y a 50 ans.

Le Noël après celui où j'avais reçu en cadeau mon fameux premier magnétophone à bobines (1964), j'avais eu un autre beau cadeau : une machine à écrire. Elle ressemblait un peu à celle de la photo suivante :



Je ne m'en suis débarrassé que l'an dernier lors de mon déménagement.

J'étais tellement content que j'avais passé cette soirée du 24 décembre 1965 à dactylographier ! Je ne voulais pas m'en séparer pour aller à la Messe de minuit et encore moins pour aller réveillonner chez mon cousin Jean-Paul Bouchard ! J'ai conservé la première feuille où j'avais étrenné mon "type". Il y avait ce paragraphe, tiré de je ne pas plus quel livre (cliquer sur le rectangle pour agrandir):


Le 25 décembre 1965, nous étions allés souper et veiller chez ma tante Simone Thibault. Le Canadien de Montréal avait vaincu les Red Wings de Détroit au compte de 4 à 3. Je ne souviens plus à quelle occasion nous avions reçu à souper la famille des Bédard.

Un message de Noël n'est pas complet sans un extrait sonore. Mon père et moi avions fait un duo harmonica-accordéon de la chanson de la Famille Soucy : "Un Noël chez Isidore" :

http://www.4shared.com/mp3/dY-PtrJ7ce/Joachim_et_Michel_jouent_Un_No.html

C'était au Jour de l'an de 1968.

Je vous souhaite un Noël comme chez Isidore, c'est-à-dire un Noël qui divertit et qui amuse !

Michel.