Jour de l'an d'il y a 50 ans : des audios

Comme au réveillon de Noël de 1966, mon magnétophone m'avait permis d'enregistrer des extraits du Jour de l'an de 1967.

Tout avait commencé avec l'arrivée, pour le souper, des premiers invités (ma tante Simone Thibault et sa famille) où mon père chante "C'est dans le temps du Jour de l'an" :

http://www.4shared.com/mp3/axLHb3G3ba/Joachim_chante_Cest_dans_le_te.html

Pendant la veillée, les invités avaient participé volontiers au tour de chant. En plus des chansons partagées dans un message précédent (cliquer ici pour les réentendre), mon cousin Gilles Bouchard avait interprété lui aussi "Chevaliers de la Table ronde" :

http://www.4shared.com/mp3/dHD6abxxce/Gilles_Bouchard_-_Chevaliers_d.html



Côté photos, je n'ai rien de ce Jour de l'an d'il y a 50 ans mais j'ai celle, ci-contre, de mon père chez ma tante Simone Thibault, datant de 5 ans plus tôt :

Pour clôturer l'année, le mois de décembre a connu entre autres deux décès dans le passé :

Il y a 40 ans décédait un cousin de mon père, Gilles-F. Gignac. C'était vers le 18 décembre 1976.









Et il y a déjà 10 ans survenait le drame qui causa les noyades de mon cousin Réjean Gignac et de sa fille Stéphanie, le 24 décembre 2006.

La plupart des gens ont vécu difficilement l'année qui achève, Alors il va de soi de vous une meilleure année ou, mieux, l'une des meilleures !

Michel.

Noël d'il y a 50 ans : des audios.

Mon magnétophone, que j'avais eu en cadeau pour Noël 1964, s'était brisé. Pour Noël 1966, il avait enfin été réparé ou peut-être Eaton m'en avait donné un neuf, je ne me souviens plus très bien.

Après la messe de minuit, nous avions reçu pour le réveillon la soeur de ma mère, Jeanne Bouchard, avec sa fille Simone et sa brue Gisèle Bouchard (Cauchon). C'était l'occasion idéale pour enregistrer quelques minutes afin de garder des souvenirs de ce Noël 1966. Comme premier extrait que je partage, c'est l'arrivée des invités :

http://www.4shared.com/mp3/HBD98qxxce/arrive_des_invits_au_rveillon_.html

Je venais d'avoir en cadeau un nouvel accordéon (pour remplacer celui usagé que mon cousin Jean-Paul Bouchard m'avait donné). On m'avait demandé de jouer, probablement en duo avec mon père qui venait de recevoir en cadeau un premier harmonica.

Puis j'avais enregistré des chansons que nous avions interprétées. Ce fut un concert un peu cacophonique ! En effet, après le "Mon beau sapin" que ma tante Jeanne avait chanté avec toutes les misères possibles (cliquer ici pour réécouter), ma cousine Gisèle s'était essayée sur "Chevaliers de la table ronde" dans un brouhaha tout aussi hilarant :

http://www.4shared.com/mp3/Et6Xky0kba/Gisle_Bouchard_-_Chevaliers_de.html

Pour le souper de Noël, nous étions probablement allés chez ma tante Simone Thibault.

Autour de 1966, c'était l'époque où nous envoyions par écrit des souhaits dans le temps des Fêtes. Malheureusement je n'ai conservé presque uniquement que les cartes de Noël qui m'étaient adressées, mais voici celle que Lauréat Boutet, cousin de mon père, nous avait fait parvenir :

Il faudra, une bonne fois, numériser plusieurs autres cartes que nous avaient envoyées les parentés des Gignac et des Bédard !

Aujourd'hui, il y a "Internet" qui s'est ajouté pour permettre d'échanger des souhaits et pour me permettre de vous souhaiter une fête de Noël mémorable !

Michel.

Photos d'années-anniversaires

L'année 2016 étant presque à la veille de prendre fin, j'ai pensé partager quelques anciennes photos des années-anniversaires. Ma mère en conservait plusieurs des années 30 et 40.

Datant d'il y a 75 ans, voici d'abord deux photos qui semblent avoir été prises à la même occasion :

 

À gauche, ma mère était en compagnie de son amie Fernande Prémont. À droite, toujours en 1941, on la voit en compagnie de Théodore Joachim, un voisin et un confrère de travail chez Vaillancourt, et d'Alice Martel. 

Datant aussi d'environ 75 ans, la photo suivante de 1941 ou 1942 montre une cousine de ma mère, Rose Pelletier, accompagnée de son époux Wilfrid Pelletier :

Du côté des Gignac, j'ai appris aujourd'hui sur internet que ma tante Cécile (que je n'ai pas connue) a épousé Jean-Paul Leclerc en 1940, soit il y a 75 ans + 1 an !

Cette magnifique photo a été prise à la porte de chez mon grand-père Honoré Gignac, au 12 Franklin (aujourd'hui 48 Franklin). Évidemment mon père n'était pas accompagné de ma mère. Je pense reconnaître mes cousins André et Gaston Gignac. (Cliquer sur la phot pour l'agrandir.)

Enfin en 1986, autre année anniversaire, ma mère et moi avions conduit ma tante Jeanne-D'Arc et sa soeur Lauretta Savard (Drolet) à l'Île d'Orléans, à la maison de ma cousine Claudette Gignac, qui recevait aussi sa soeur Nicole. 

C'était un 20 juillet d'il y a donc 30 ans.

Bientôt un message de Noël avant que 2016 soit chose du passé !

Michel.

(Merci à Liliane Gignac.)  

Il y a vingt ans, ma tante Jeanne Bédard décédait.

Il y a déjà 20 ans que décédait ma tante Jeanne Bédard (Bouchard). C'était le 28 octobre 1996. S'il y avait une sainte sur Terre, c'était bien elle. Je ne sais pas comment elle était avec sa famille mais, avec les gens en général, elle était toujours de bonne humeur, d'accord avec tout le monde, évitant de faire des reproches (toutes mes tantes et tous mes oncles réagissaient comme cela aussi), d'une douceur et d'une générosité sans limite.

La meilleure illustration de ce dernier point est l'anecdote suivante. Lors d'une visite chez elle, son fils Gilles lui demanda si elle veut boire quelque chose. Elle répondit affirmativement. Quand Gilles lui apporta le breuvage, elle me le donna ! Elle était comme cela, pouvant tout partager.

Ma tante avait aussi un sens de l'humour rare, pouvant réussir à faire rire aux larmes les personnes avec qui elle était. Comme exemple voici l'audio d'une petite chanson qu'elle avait sortie je ne sais d'où car je ne l'ai jamais entendue ailleurs ! Sa fille Pierrette Bouchard (Lapointe) lui fait une présentation spéciale :

http://www.4shared.com/mp3/O75fYEn6ba/Jeanne_Bouchard_chante_prsente.html

Sa photo demeurera en tête de la page s'accueil du site pendant le mois.

Octobre 2016 marque aussi l'anniversaire de mariage de ma tante Simone Bédard avec Paul-Étienne (Paulo) Thibault. Cela a fait 70 ans le 12 octobre. Voici un souvenir de cette journée de samedi de 1946, où les nouveaux mariés sont photographiés avec ma mère, devant l'entrée de la maison de ma tante Marguerite Bédard (Alain) sur l'avenue Lamontagne, où avaient lieu les noces :

Un autre décès fut celui de ma cousine Louisette Chabot (Bouchard), il y a 5 ans, soit le 17 octobre 2011. 

Juste à temps pour vous souhaiter une joyeuse Halloween !

Michel.

(Merci à ma cousine Simone Bouchard.)

Décès de ma cousine Thérèse Leblanc (Gignac) 1929-2016

C'est avec tristesse que nous avons appris le décès de ma cousine Thérèse Leblanc (Gignac) (photo de gauche de 1951). Elle était l'épouse de mon cousin feu Jean-Marie Gignac (de la famille de mes oncle et tante Joseph Gignac et Germaine Paquet).

L'avis de décès précise que la famille accueillera parents et amis :
vendredi le 7 octobre 2016, de 09:00 à 11:00,
au Complexe funéraire Lépine Cloutier:
1500 boul. Wilfrid-Hamel, Québec

Les funérailles auront lieu aussi le 7 octobre 2016, à 11:00 en la chapelle du Complexe funéraire.

Michel.

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Ma cousine Bérangère préside l'AFEAS de Charlesbourg

J'ai ramassé quelques photos illustrant le travail de ma cousine Bérangère Roussin (Gignac) (épouse de Robert Gignac) comme présidente de l'AFEAS (l’Association féminine d’éducation et d’action sociale) de Charlesbourg.

Par exemple, la photo suivante montre la volonté des membres de l'organisme de Charlesbourg de rappeler l'héritage de femmes qui ont écrit l'histoire de la Nouvelle-France et des droits des femmes, en étant accueillies par le député de Charlesbourg, François Blais, pour une visite à l'Assemblée nationale.

Elle ont aussi accueilli des représentantes de la Société d'histoire des Filles du Roy (arrivées entre 1663 et 1673).

L'AFEAS de Charlesbourg a aussi manifesté son intérêt pour l'existence de volumes comme celui de l'écrivaine Pauline Gill au sujet de Gaby Bernier, qui vécut au début du 20e siècle et devint une femme d'affaire accomplie dans le domaine de la haute couture :

À titre d'information, je tire une définition de l'AFEAS du site internet de l'association :

"Fondée en 1966, l’Association féminine d’éducation et d’action sociale (AFEAS) permet aux Québécoises de porter leurs voix au niveau parlementaire. Elle défend les intérêts des femmes auprès des instances décisionnelles (gouvernements, conseils municipaux, institutions publiques et parapubliques) au moyen de pétitions, de mémoires présentés en commissions parlementaires ou de rencontres avec les décideuses et décideurs politiques.
(...)
L’AFEAS pratique un féminisme social égalitaire, qui vise l’obtention d’une identité propre, d’un statut égal, d’une liberté de choix et d’une autonomie pour les femmes, en rupture avec les inégalités persistantes dans notre société.
(...)
Le Québec compte 275 Afeas locales regroupées en 11 régions, toutes rattachées au siège social. Chaque palier, local, régional et provincial, est régi par un conseil d’administration élu."

Les dossiers prioritaires et les revendications de l'AFEAS sont :

CONCILIATION TRAVAIL-FAMILLE
TRAVAIL INVISIBLE (OU NON RÉMUNÉRÉ)
LAÏCITÉ DE L’ÉTAT
LUTTE CONTRE L’HYPERSEXUALISATION
CONJOINTS DE FAIT : RÉVISION DU CODE CIVIL
PROJET APPROCHE POSITIVE DE L’ÉGALITÉ

Ses principales réalisations concernent :

LE TRAVAIL INVISIBLE
LA SÉCURITÉ DE LA VIEILLESSE
L'ACCÈS AUX SOINS DE SANTÉ
LE DROIT FAMILIAL ET LE DIVORCE
LE STATUT DES FEMMES COLLABORATRICES AUX ENTREPRISES FAMILIALES
LA VIOLENCE

En rapport à cette dernière réalisation, l'AFEAS de Charlesbourg tenait, le 5 décembre 2015, l'opération «Tendre la main», qui se tenait à la bibliothèque Paul-Aimé-Paiement, à l'occasion de sa campagne annuelle de sensibilisation et d'action pour contrer la violence et l'intimidation :

Au nom des membres de la parenté, je félicite Bérangère (à gauche sur la photo suivante) pour son engagement en vue de l'avènement d'un monde meilleur !

Les deux anniversaires en septembre que je souligne sont ceux de la mère et de la fille :

Ma tante Jeanne Bédard (Bouchard) aurait célébré, si encore vivante, son 110e anniversaire de naissance le 20 septembre.
Sa fille Simonne Bouchard a fêté elle aussi un important anniversaire le 8 septembre.

Bon automne et bon début d'hiver !
Michel.

Des étés passés

Le mois d'août est presque synonyme de survol d'étés du passé, grâce à quelques photos :

1956 semble être l'année où nous avons commencé à passer plusieurs dimanches après-midi au chalet de mon oncle Jean-Marie Gignac au Lac Saint-Charles. Voici une photo non datée de cette habitude commencée il y a environ 60 ans, où mon père, son frère et mon cousin Gilles, de même que moi-même sommes en compagnie de la famille de René Drolet.

Dix ans plus tard, nous visitions des plages et des campings. Je me souviens que la chanson qu'on y entendait, en cet été 1966, était "Tu es impossible" par Les Sultans.

Autre été-anniversaire : 1986. Après avoir conduit à Longueuil les Lachance, amis de ma mère, nous avons visité, à Montréal, la cousine de ma mère, la pianiste Colombe Pelletier, qui nous fit visiter l'Exposition chinoise à l'ancien site d'Expo 67 :

Nous retournons cette fois 25 ans en arrière avec cette photo prise en 1991 à Saint-Hyacinthe à l'hôtel "Le Dauphin". Dans cette ville, nous avons visité le magasin de disques et livres de Marcel Picard (fils de "Fonsine" Pelletier, cousine de ma mère) :

Enfin il y a 20 ans, nous avons parcouru en 1991 le nord des États-Unis, passant entre autres par Newport. Pour s'y rendre, nous avions emprunté la route 108, nous arrêtant entre autres à La Guadeloupe J'avais trouvé comique d'y prendre une photo et de tenter de faire croire que nous étions allés en Guadeloupe !  

Quant aux événements en août, je rappelle le mariage il y a 50 ans de ma cousine Gisèle Alain avec Raymond Harvey, soit le 19 août 1966. 

De plus, un fait moins joyeux fut le décès de mon oncle Emmanuel Gignac il y a 30 ans. Sa photo restera en tête de la page d'accueil du site pendant le prochain mois. C'était le 5 août 1986.

Bonne reprise des activités régulières !

Michel.

Mon père aimait ramer à Valcartier, il y a 60 ans.

Pour souligner l'anniversaire de naissance de mon père, le 26 juillet, j'ai sorti une photo d'il y a 60 ans environ où on le voit faire de la rame. C'était sur la rivière Jacques-Cartier à Valcartier près de Shannon, au chalet de ma tante Marguerite Alain.

Une autre photo, prise le même jour, nous montre, ma mère et moi, en compagnie de mes cousin-e-s Gisèle, Roger et Gilles Alain.

Je n'insisterai pas sur la fête de mon père en 1976. Cette journée à l'hôpital était une accalmie après s'y être fait inévitablement couper une jambe en dessous du genou.  Des douleurs "fantôme" allaient apparaître peu après.

En juillet, j'ai une naissance à souligner : celui de mon cousin Jean-Claude Bouchard il y a 80 ans, soit le 30 juillet 1936.

Il y a 30 ans, ma mère était allée à l'Île-aux-Coudres. C'était le 17 juillet 1986.

Plusieurs 45e anniversaires de mariage sont célébrés cet été. On se prépare sans doute à fêter en grand les noces d'or dans 5 ans ! On compte Robert Gignac avec Bérangère Roussin en juin 1971, Yvan Gignac avec Diane Guérard et Nicole Gignac avec Yvon Rhéaume en juillet 1971, et on pourra se remémorer les noces de Roger Alain avec Diane Beaudet en août 1971.

L'anniversaire de mon père annonce la proximité du mois d'août, qui sera à nouveau l'occasion de survoler les vacances passées.

Bon mois !
Michel.

La Fête des pères de 1976 partiellement encourageante.

Si on se souvient de l'état de santé de mon père au printemps 1976, on devine que la Fête des pères qui a suivi ne fut pas tout à fait réjouissante. Mais le début de ce dimanche fut plutôt encourageant pour lui car il ne ressentait presque plus les maux de sa jambe légèrement amputée. Cependant ils sont réapparus à la fin de la journée.

Il est remarquable que mon père avait beaucoup de soutien de la part de ses amis et parents qui venaient le visiter. Je me suis amusé à faire la liste de plusieurs de ces personnes qui, en grande partie, étaient ceux et celles qui s'arrêtaient pour lui parler quand il sortait sur le trottoir auparavant :

ses frères : Joseph, Albert, Emmanuel ;
des belles-soeurs et beaux-frères : Jeanne-D'Arc Savard, Jeanne Bouchard, Robert Bouchard, Simone et Paulo Thibault, Alphonse Alain ;
un cousin René Myrand ;
des neveux et nièces : Jean-Guy Alain, Simone et Gilles Bouchard, Claude et Jacques Thibault, Lise Drolet, Carole Lapointe ;
Alphonse Lafond et son épouse (nos propriétaires) ;
des voisins : Raoul Matte, Pierre Gagné, Gaudias Beaulé, Joseph(?) Plante, René et Lauretta Drolet, Paul Labbé, Lauréat Chamberland ;

un confrère de travail : Henri Brousseau (voir la photo de sa famille avec mes parents, en 1974) ;
Lucien Roy (son médecin de famille) ;
et sans doute plusieurs autres,
sans compter les personnes qu'il est allé visiter pendant cette période !

Les mois de juin anniversaires (5, 10, 15, 20, 25, 30, 40, 50, 60, 70, 75 ans, etc.) ne comportent pas d'événements tellement joyeux :

Ma tante Bertha Defoy (Gignac) (photo) est décédée il y a 5 ans, soit le 17 juin 2011. Sa photo sera en tête de la page d'accueil du site pendant le mois.

L'an dernier, mes cousines Denise Grondin (Gignac)(3 juin) et Cécile Ruel (Alain)(1 juin) sont décédées et ont eu leurs funérailles la même journée.

Mon cousin Jean-Paul Bouchard est mort il y a 15 ans, soit le 21 juin 2001. Le 25 du même mois, Paul-Henri Picard, époux de la cousine de ma mère (Al)Fonsine Pelletier, décédait.

D'un autre côté, il y a 140 ans naissait ma grand-mère Léocadie Myrand (Gignac) ; c'était le 25 juin 1876.

Je vous souhaite une agréable Fête des pères !
Michel
(merci à ma cousine Liliane)

Il y a 50 ans, des noces d'argent où j'étais présent

 Le 22 mai 1966 est ancré dans mes souvenirs. Ce dimanche-là étaient célébrées les noces d'argent de mon oncle Emmanuel Gignac et ma tante Jeanne-D'Arc Savard, au futur édifice de la CSN. C'était l'une des premières cérémonies de ce genre-là où j'étais présent.

Souvent à un événement important est associé un autre souvenir. Dans ce cas, avant le départ, je me rappelle avoir regardé à la télévision le film marquant "L'Abominable Homme des neiges", qui finissait à 20:30 !

C'est ma cousine Nicole qui avait lu l'"adresse", avec l'aide de sa cousine Micheline Savard. En plus d'un orchestre, une chanteuse était présente et avait besoin d'un joueur de piano. Mon père s'était porté volontaire ; à l'oreille, il avait accompagné l'artiste sur des chansons qu'il n'avait probablement jamais jouée auparavant. Il m'avait vraiment impressionné ce soir-là !  Le mariage date donc de 75 ans (26 mai 1941).

Un autre événement, plus récent, où j'étais présent est le 80e anniversaire de ma tante Gemma Gignac (Defoy). Déjà 15 ans se sont écoulés depuis ce 25 mai 2001. Au restaurant "L'Échouerie" de son fils Raynald, le souper en l'honneur de ma tante fut agrémenté par des chansons de Maxime Farago. Ma mère n'était pas en assez bonne santé pour pouvoir m'accompagner.

Comme événement triste de mai, le décès d'une cousine de mon père, Gabrielle Gignac (Roberge) (photo de 1951) est survenu il y a 40 ans, autour du 20 mai 1976. C'est une autre visite de sympathie que mon père n'a pu effectuer, n'étant pas suffisamment remis de ses trois mois d'hospitalisation...

À bientôt pour la Fête des pères !
Michel.

Un beau cadeau pour la Fête des mères de 1976.

Le plus beau cadeau pour ma mère à la Fête des mamans a sans doute été celui d'il y a 40 ans. Mon père était à l'hôpital Saint-François-d'Assise depuis trois mois et une ultime greffe de peau a finalement réussi à prendre. Ainsi il a pu revenir à la maison, quelques orteils en moins, deux jours avant la Fête des mères du 9 mai 1976. En entrant, il a trouvé notre logement tellement beau !  Le pire pour lui était encore à venir mais cette fête fut pour nous fort réjouissante.

Je vous souhaite autant de bonheur pour la Fête des mères qui s'en vient !

La photo que j'ai ajoutée a été prise en mai il y a 75 ans. Ma mère était avec son amie Fernande Prémont et le frère de celle-ci, Jean-Paul ; ma tante Simone Bédard était avec son futur époux Paul-Étienne Thibault. Il s'agissait peut-être de la Fête des mères de 1941, qui sait ?

Ma mère ne peut se retenir de vous offrir comme cadeau ce cantique pour le mois de Marie, le mois de mai : "Ô ma Reine, ô Vierge Marie" ! (cliquer)

En finissant le mois d'avril, je n'ai qu'un souvenir à souligner : la naissance, il y a aussi 40 ans, de Patrick Rhéaume, fils de ma cousine Nicole Gignac et d'Yvon Rhéaume. Cette dernière avait accouché justement au même hôpital que mon père. Ma mère et moi étions allés rendre visite à Nicole dans sa chambre et nous avions pu voir le nouveau-né à la pouponnière !

Bon Premier mai !
Michel.

Pâques d'il y a 40 ans : mon père à l'hôpital, en deuil de son frère Jean-Marie.

La fête de Pâques de 1976 avait été plutôt triste. Mon père était hospitalisé depuis déjà 2 mois et demi environ. Ma mère et moi avions passé l'après-midi et la soirée avec lui à l'hôpital Saint-François-d'Assise.

Pendant ces semaines, mon père avait subi plusieurs épreuves dangereuses. Une plaie à un talon l'avait conduit à passer des examens à l'hôpital. Le diagnostic était clair : il devait se faire "déboucher" les artères. Mais l'opération n'avait pas été un total succès : il a dû être réopéré. Des plaies de lit apparurent. Quand il dépérissait, on lui faisait des transfusions de sang. On lui fit aussi quelques greffes de peau pour faire guérir une plaie, sinon c'était la mort assurée.

Donc à Pâques (18 avril 1976), la situation de mon père ne s'était pas tellement améliorée. Par la suite, au contraire, le pire était à venir.




Pour ajouter à ses épreuves, nous avions dû lui apprendre que son frère Jean-Marie Gignac était décédé (le 30 mars 1976), par suite d'un infarctus. À la mémoire de mon oncle, sa photo sera en tête de la page d'accueil du blogue pendant le mois.







Pour terminer sur une note festive, j'ai retrouvé une enveloppe que mon père m'avait remise, à Pâques 1970 probablement. J'ai numérisé ce qu'il avait écrit, au meilleur de sa connaissance.

Je vous souhaite une fête de Pâques sans épreuves, dont il vaut mieux se réjouir le cas échéant !

Michel.

Décès de ma tante Lucienne, il y a 20 ans.

Ma tante Lucienne Richard (Gignac) décédait il y a 20 ans, soit le 10 février 1996. J'avais eu un mauvais pressentiment que ma mère pourrait être l'une des suivantes à "partir" (elle avait oublié mon anniversaire de naissance quelques jours auparavant).



La photo de ma tante Lucienne sera en tête de la page d'accueil pendant le mois de mars.





Un événement plus joyeux fut le baptême de Julie Thibault, filleule de ma mère, il y a 30 ans. La cérémonie se déroula le 9 février 1986, à l'église de Val-Belair. Sur l'une des deux photos, on voit ma mère signer le registre à titre de marraine ; le parrain (et frère du père Jean Thibault) Claude, posa le même geste.

Un autre 10 ans plus tôt, c'était le décès d'une cousine de ma mère, Marie-Rose Pelletier (Picard), vers le 20 février 1976.

Une tante de ma mère, Émérentienne Bédard (Dugal), décédait le 10 février 1956.

Le 8 février 1946 était marqué par la naissance de ma cousine Lise Drolet (Thibault).

Pour terminer, une réjouissance plus récente : le 17 février 2001 se tenait la veillée de ma tante Bertha et de sa fille Liliane Gignac au Centre communautaire Édouard-Lavergne.

Michel
(À venir, une fête de Pâques plutôt sombre...)

Le bris de mon magnétophone m'avait empêché d'enregistrer les veillées d'il y a 50 ans.

Vers l'automne 1965, mon magnétophone, que j'avais depuis un an, s'était brisé. Je ne me souviens plus pourquoi il n'a pas été réparé ou remplacé avant l'été 1966. Je n'ai donc pas pu enregistrer les veillées de janvier d'il y a 50 ans : celle pour les Bédard le 15 janvier et celle pour les Gignac le 29 janvier 1966. J'ai gardé quand même des souvenirs de ces fêtes.

Le samedi de la veillée pour les Bédard, le Canadien de Montréal avait vaincu 6 à 4 les Black Hawks de Chicago.

Du côté des Gignac, je n'ai pas toutes les dates mais mon oncle Joseph avait parti le bal en recevant la parenté au Jour de l'an. (Cliquer ici pour relire quelques souvenirs de cette fête)

Le samedi suivant (le 8 janvier 1966), c'était au tour de mon oncle Lucien de donner sa veillée. Le Canadien avait écrasé les Bruins de Boston 6 à 0. Nous, les enfants, avions joué au "pendu" (jeu de mots).

Samedi le 29, la parenté des Gignac avait rendez-vous chez-nous. Le Canadien obtenait une autre victoire, 5 à 2 sur les Rangers de New York. Comme je n'avais pas de magnétophone pour jouer des chansons récentes qui auraient fait danser les invités, des cousin-e-s avaient apporté des 45 tours et des microsillons plus récents que ceux que nous avions. Les danses s'étaient faites dans notre cuisine, au son entre autres de "Je sais" par César et les Romains et de "Like A Rolling Stone" par Bob Dylan (photo), joués sur notre vieille table tournante portative, qui ressemblait un peu à celle de la photo (peut-être qu'elle était de marque "Symphonic", étant donné que mon magnétophone était lui aussi un "Symphonic").

Il est dommage ainsi de ne pas avoir pu conserver des souvenirs sonores de ces deux veillées d'il y a 50 ans.

Plus récemment, j'ai un seul autre événement à souligner pour janvier, soit le décès de ma tante Emma Alain (seconde épouse de mon oncle Alphonse) il y a 15 ans, soit le 16 janvier 2001.

Nous voilà à nouveau rendus à la fin de janvier pour vous souhaiter d'agréables activités annuelles avec le Carnaval de Québec, la joute d'étoiles du hockey, les préparatifs pour le Super Bowl au football, etc.!

Michel.

Un anniversaire mouvementé pour ma mère en 1968 !

L'anniversaire de ma mère, qui est le 11 janvier, me rappelle celui de l'année 1968 qui avait été mouvementé pour elle ! Quand je suis revenu de l'école pour dîner, elle était affairée car l'eau avait gelé dans les tuyaux.

Il faut dit qu'il avait fait froid en ce début d'année. Trois jours auparavant, nos voisins d'en haut, Mlle Savard au troisième étage et les Drolet au deuxième, avaient vu leurs tuyaux geler. Nous leur avions fourni de l'eau dans des chaudières. Nous avons pris la précaution de faire couler l'eau de l'évier pendant les nuits pour que ce malheur ne nous arrive pas à notre tour.

Mais ce 11 janvier 1968, nous nous ajoutions à notre tour à la liste des éprouvés par ce désagrément ! Pendant le dîner, ma mère m'expliqua qu'elle avait dû faire venir un plombier. Ce dernier a suggéré de faire réchauffer les tuyaux sous l'évier par notre chauffrette.

Quand je revins de l'école, cette fois-ci pour le souper, ma mère sortait en même temps. Les tuyaux étaient dégelés. Mais après avoir passé probablement l'après-midi à tenter de régler le problème de l'eau, elle devait partir pour l'édifice du Lafayette sur le boulevard Charest est, car son ancienne patronne l'avait appelée pour remplacer un employé ce soir-là et ainsi la dépanner pour une tâche de ménage.

Mon père est revenu ensuite de son travail et il apprit le tourbillon qui emportait ma mère le jour de sa fête. Cette dernière, en arrivant de ses trois heures de ménage au Lafayette, téléphona à Lauretta Drolet qui lui apprit la bonne nouvelle : après quatre jours, leur eau avait enfin dégelé !

Mon père ajouta ses souhaits de bonne fête aux miens, de même mes deux tantes Simone et Jeanne au téléphone. Ce fut pour elle un peu de réconfort après cette journée éprouvante !

Sûrement qu'elle aurait préféré vivre cette fête dans le calme et chanter "Tout est tranquille" comme en 1993 : http://www.4shared.com/mp3/BEgd5ZVKba/Blanche_chante_Tout_est_tranqu.html

Michel
(la photo date du 11 janvier 1992)