La fête de Pâques de 1976 avait été plutôt triste. Mon père était hospitalisé depuis déjà 2 mois et demi environ. Ma mère et moi avions passé l'après-midi et la soirée avec lui à l'hôpital Saint-François-d'Assise.
Pendant ces semaines, mon père avait subi plusieurs épreuves dangereuses. Une plaie à un talon l'avait conduit à passer des examens à l'hôpital. Le diagnostic était clair : il devait se faire "déboucher" les artères. Mais l'opération n'avait pas été un total succès : il a dû être réopéré. Des plaies de lit apparurent. Quand il dépérissait, on lui faisait des transfusions de sang. On lui fit aussi quelques greffes de peau pour faire guérir une plaie, sinon c'était la mort assurée.
Donc à Pâques (18 avril 1976), la situation de mon père ne s'était pas tellement améliorée. Par la suite, au contraire, le pire était à venir.
Pour ajouter à ses épreuves, nous avions dû lui apprendre que son frère Jean-Marie Gignac était décédé (le 30 mars 1976), par suite d'un infarctus. À la mémoire de mon oncle, sa photo sera en tête de la page d'accueil du blogue pendant le mois.
Pour terminer sur une note festive, j'ai retrouvé une enveloppe que mon père m'avait remise, à Pâques 1970 probablement. J'ai numérisé ce qu'il avait écrit, au meilleur de sa connaissance.
Je vous souhaite une fête de Pâques sans épreuves, dont il vaut mieux se réjouir le cas échéant !
Michel.
Pendant ces semaines, mon père avait subi plusieurs épreuves dangereuses. Une plaie à un talon l'avait conduit à passer des examens à l'hôpital. Le diagnostic était clair : il devait se faire "déboucher" les artères. Mais l'opération n'avait pas été un total succès : il a dû être réopéré. Des plaies de lit apparurent. Quand il dépérissait, on lui faisait des transfusions de sang. On lui fit aussi quelques greffes de peau pour faire guérir une plaie, sinon c'était la mort assurée.
Donc à Pâques (18 avril 1976), la situation de mon père ne s'était pas tellement améliorée. Par la suite, au contraire, le pire était à venir.
Pour ajouter à ses épreuves, nous avions dû lui apprendre que son frère Jean-Marie Gignac était décédé (le 30 mars 1976), par suite d'un infarctus. À la mémoire de mon oncle, sa photo sera en tête de la page d'accueil du blogue pendant le mois.
Pour terminer sur une note festive, j'ai retrouvé une enveloppe que mon père m'avait remise, à Pâques 1970 probablement. J'ai numérisé ce qu'il avait écrit, au meilleur de sa connaissance.
Michel.
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