Blogue pour Blanche Bédard et Joachim Gignac

Ce site est pour rappeler la mémoire de mes parents Blanche Bédard et Joachim Gignac. Nous nous remémorons aussi des souvenirs des familles Gignac, Bédard, Pelletier et Myrand. Pour recevoir régulièrement les différents messages, il suffit de s'inscrire pour devenir membre. Merci à l'avance pour vos commentaires et votre participation.


Michel Gignac.


(Les messages sont sujets à être mis à jour sans avis.)


Mise en garde

Plusieurs liens sonores ne semblent plus fonctionner dans certains messages. Mais ils peuvent quand même être écoutés si vous téléchargez l'audio, tel que suggéré en descendant dans la page de 4shared. Il vaut toujours mieux prendre ses précautions lorsque l'on navigue vers des sites qui sont hors du blogue, incluant 4shared. Bien s'assurer de ne cliquer que sur ce que l'on voulait obtenir.

Michel.

Mariage de Blanche et Joachim en 1948

dimanche 30 décembre 2018

Une veille de Jour de l'an "paralysante", il y a 20 ans !

J'aimerais raconter une anecdote que j'ai vécue le 31 décembre, il y a 20 ans. L'ami d'un de mes amis m'avait proposé d'aller à Saint-Raymond de Portneuf. Il avait une pile de revues "Le Journal des vedettes" des années 50 qui étaient restées chez son père et qui m'intéressaient (l'image donne une idée de l'allure du journal). En même temps je laisserais sa petite fille à Saint-Basile en passant.

Il faisait très froid cet après-midi-là et, après quelques kilomètres sur l'autoroute 40, je me suis rendu compte que la chauffrette de mon auto était défectueuse. Pas question de faire demi-tour ! Nous avons fait comme prévu et, heureusement, nous nous réchauffés au logement de Monsieur Plamondon à Saint-Raymond.

Sur le trajet du retour à Québec, je sentais que le froid m'envahissait peu à peu. Après avoir laissé mon ami à son domicile à la Haute-Ville, je constatai que j'avais les doigts gelés, même paralysés par le froid. Je devais conduire avec mes poignets pour tourner le volant ! J'ai été surpris de pouvoir me rendre chez moi et d'entrer quand même l'auto sur le terrain de stationnement de la quincaillerie Paquet. De peine et de misère, j'ai pu éteindre le moteur et sortir de l'auto.

Maintenant comment entrer dans la maison ? Mes clefs étaient dans mon manteau et je ne pouvais pas les en sortir. Ma mère était probablement couchée et elle ne pourrait pas m'aider. Quelqu'un allait-il passer et me venir en aide ? Heureusement c'était la fermeture de la quincaillerie et un employé en sortit. Je lui demandai s'il accepterait de me sauver la vie ! Il prit la clef du logement dans mon manteau et il me débarra la porte de mon domicile. Ouf ! être arrivé quelques minutes plus tard et tout le monde du commerce aurait été parti. J'entrai me réchauffer les mains avant de redescendre pour verrouiller l'auto. Toute une fin d'année 1998 !

Je rappelle maintenant des événements des décembres passés :

- Il y a 5 ans décédait ma cousine Hélène Gignac ; c'était un 19 décembre.
- Déjà 25 ans que Lauretta Myrand, cousine de mon père, perdait la vie, un 29 décembre cette fois-là.
- Il y a 50 ans naissait Magalie Harvey, fille de ma cousine Gisèle Alain.
- Le même mois de 1968 décédait Adrien Thibault, frère de mon oncle Paulo (Paul-Étienne) Thibault.

Pour faire suite à mon message précédent de Noël 1968, ces deux photos me rappellent de bons souvenirs du Jour de l'an de cette année-là. Nous sommes allés souper et veiller justement chez ma tante Simone Thibault (soeur de ma mère). C'était le premier temps des Fêtes qu'ils passaient dans leur nouveau logement de la rue Dollard. Il était suffisamment grand pour loger maintenant une table de billard !

Ma tante Jeanne Bouchard et sa fille Simone étaient aussi invitées. Monsieur Daniel Thibault (pour qui ça aura été ses dernières Fêtes), père de mon oncle Paulo, a résumé cette journée d'il y a 50 ans : "Ça a été un beau Jour de l'an ! "

C'est ce que je vous souhaite : un BEAU Jour de l'an ! Et une bonne année 2019.

Michel.

samedi 22 décembre 2018

Noël 1968.

J'ai décidé de ne conserver que les souvenirs heureux de Noël 1968 car, par la suite, les Fêtes furent souvent assombries.

Mais d'abord, pour la guignolée du 22 décembre, mon oncle Jean-Marie Gignac faisait partie des solliciteurs avec son frère Emmanuel de même que René Drolet. Cliquer ici pour en écouter un extrait.

La veille de ce Noël d'il y a 50 ans, j'avais reçu en cadeau une radio AM-FM. Je pouvais enfin écouter le poste CHRC-FM. Malheureusement le lendemain de Noël, je brisais déjà l'antenne !

Au réveillon 1968, nous recevions la famille Thibault et des membres de la famille Bouchard. Pendant le repas, nous faisions un "concert" de chants de Noël, avec mon père et Jean-Paul mon cousin en évidence ; je jouais quelques mesures d'accompagnement à l'accordéon. Au programme :  Dans cette étable, Adeste fideles, Les anges dans nos campagnes, Notre divin maître et Petit papa Noël. Pour écouter ce bloc, on peut cliquer ici.

La journée du 25 décembre 1968 en fut une de récupération, le coucher tardif nous faisant nous lever à 15:30 de l'après-midi !







Photographiquement il y a 70 ans, voici deux souvenirs de ma mère le 25 décembre 1938, dont l'une accompagnée par sa soeur Simone, Auguste Lachance et Lucien Asselin.

On va peut-être se voir le 23 pour les funérailles d'Yvon Rhéaume. À tout événement, je vous souhaite un Noël de paix !

Michel.

vendredi 14 décembre 2018

Détails concernant le décès d'Yvon Rhéaume.

Les funérailles de mon cousin Yvon Rhéaume ont été fixées à :

dimanche le 23 décembre, à 15:00,
à la chapelle du Complexe funéraire Lépine-Cloutier, 
6450, boul. Henri-Bourassa.

Parents et amis pourront offrir leurs condoléances à sa conjointe Nicole Gignac et à sa famille à la même adresse et à la même date, entre 13:00 et 15:00.

En sa mémoire, un don peut être effectué à la Société de recherche sur le cancer, 625, du Président Kennedy, Montréal (Qc) H3A 3S5.

Michel.
(la photo date de 1971)


jeudi 13 décembre 2018

Décès d'un cousin Yvon Rhéaume.


J'espérais ne pas demeurer en décembre dans la tristesse du message de novembre, mais un décès est survenu hier, le 12 décembre. C'est celui d'Yvon Rhéaume, époux de ma cousine Nicole Gignac.

J'indiquerai bientôt les coordonnées des cérémonies de condoléances et de funérailles quand elles auront été déterminées.

Michel.

jeudi 29 novembre 2018

Décès de deux oncles et d'autres parents Gignac en novembre

Le mois de novembre était particulièrement funèbre dans le passé. Deux oncles sont décédés il y a 40 ans et 60 ans, de même que d'autres parents Gignac.

Le 25 novembre 1978 décédait mon oncle Lucien Gignac. Mon père, lui-même gravement malade, n'avait pas pu venir avec ma mère et moi pour lui rendre visite à l'hôpital, ni pour faire une visite de sympathie, ni pour assister aux funérailles. Le jour de la cérémonie, des cousins de mon père, Bruno (de même son épouse Yvette Duperron) et Véronique Gignac, étaient venus à la maison pour lui offrir leurs condoléances.


Le 8 novembre 1958, mon oncle Léonidas Gignac décédait, environ un an avant mon grand-père Honoré. Sa photo, de même que celle de mon oncle Lucien, resteront en tête de la page d'accueil pendant le prochain mois.


Entre ces deux décès, soit il y a 50 ans, nous quittaient Alexandre Gignac, un cousin de mon père, et Aurore Potvin qui avait demeuré avec Antonia Gignac, une tante de mon père. C'était tous deux le 19 novembre 1968.

Plus récemment (il y a déjà 10 ans) nous étions, le 7 novembre 2008, dans le deuil de mon cousin Fernand Gignac, fils de Joseph.

Enfin il y a 15 ans décédait le 16 novembre 2003 Marie-Jeanne Savard, épouse de Maurice Defoy et belle-soeur de mes tantes Bertha et Gemma.

Heureusement le mois de décembre qui approche va nous donner l'occasion de pensées plus positives. À bientôt !

Michel.

mercredi 31 octobre 2018

Les dernières sorties du dimanche de mon père, il y a 40 ans.

En octobre 1978, mon père obtenait une solution définitive à son handicap d'une jambe. Il recevait une ceinture pour la prothèse (jambe artificielle) acquise le mois précédent. Il n'avait pas si bien marché depuis son amputation ! La plupart des dimanches, il embarquait en auto avec ma mère et moi pour faire des sorties. J'ai fait la liste des dernières sorties qu'il a effectuées, pour visiter surtout la parenté, avec bonheur ; je commence en juillet d'il y a 40 ans :

Le 8 juillet : chez le neveu de mon père, Jean Thibault, à Val-Bélair.
Le 16 juillet : à l'Ancienne-Lorette, dans le secteur où son frère Albert Gignac avait eu son chalet (photo de 1986).


Le 30 juillet : au chalet de son frère Jean-Marie Gignac, au Lac Saint-Charles.
Le 6 août : à la maison mobile de sa nièce Pierrette Lapointe (Bouchard), à Beauport.
Le 4 septembre (la Fête du travail) : chez ses cousines Myrand, à leur nouvelle maison à Sillery (seule Estelle Myrand était là).
Le 10 septembre : chez son neveu Jacques Bouchard à Saint-Jean-Chrysostome, à sa nouveau maison.
Le 17 septembre : sur l'autoroute de Beauce (la 73) puis chez sa nièce Gisèle Alain, à Saint-Étienne.
Le 15 octobre : au Village de Valcartier et à Tewkesbury.
Le 29 octobre : au Jardin du repos (la Souvenance) puis chez sa belle-soeur Jeanne Bouchard, à son nouveau logement sur la rue Christophe-Colomb ouest.

Le samedi 11 novembre, il terminait un rhume. Malheureusement le point qu'il ressentait au ventre ne disparaissait pas.

Le lendemain, il nous suivait quand même chez son neveu Jacques Thibault, au Lac Saint-Charles. Ç'aura sa dernière sortie d'agrément...

QUELQUES ANNIVERSAIRES.

Revenons en octobre pour rappeler quelques événements :

Il y a 110 ans, soit le 30 octobre 1908, naissait Marthe, une soeur de mon père (qui n'était pas encore né) ; elle allait vivre moins d'un an.

Le 11 octobre 1933, c'était au tour de mon cousin André Gignac de naître (information que j'ai obtenue grâce à son frère Robert).

Le 25 octobre 2003, soit il y a 15 ans, le cousin de mon père Bruno Gignac décédait.

Il y a 20 ans, le 15 octobre 1998, décédait André Drolet, neveu de mon oncle Emmanuel Gignac et de ma tante Jeanne-D'Arc.


Mardi (le 30 octobre) j'ai vécu, à la grotte Notre-Dame-de-Grâce, une Halloween pour la première fois depuis presque une éternité. Joyeuse fête de l'Halloween !

Michel.

samedi 29 septembre 2018

Le grand jour du 20 septembre 1948.


Il y a 70 ans, les parentés des Bédard et des Gignac se réunissaient pour le mariage de mes parents ! La cérémonie se déroulait à l'église de Saint-Zéphirin de Stadacona, comme on le voit sur la photo collective qui est en tête de la page d'accueil du blogue.

La noce fut célébrée chez la soeur de ma mère, Marguerite, épouse d'Alphonse Alain, demeurant aussi à Saint-Zéphirin. Ma mère était voisine de ma tante Marguerite, résidant avec sa soeur Simone. Sur la photo suivante, montrant une partie des invités à l'entrée donnant sur l'Avenue Lamontagne, mon grand-père Honoré Gignac veille sur son fils, et mon oncle Alphonse, sur sa belle-soeur !



À leur tour, ma grand-mère Léocadie Gignac garde un oeil sur son fils, et ma tante Marguerite, sur sa soeur !


Ma mère a eu le privilège de recevoir un gigantesque gateau de noces de la part de la pâtisserie Vaillancourt où elle venait de finir de travailler.


Mes parents firent leur voyage de noces à Montréal, en compagnie de Marguerite et Alphonse.


Leur résidence fut en face de chez mon grand-père Gignac, au 35 rue Franklin, où j'allais demeurer quelque temps (peut-être quelques années) après ma naissance. (Curieusement, ce sont mes anciens propriétaires du 463 Franklin qui demeurent actuellement au 35 ! )

La fois suivante où les deux parentés allaient se rassembler serait en 1973 pour les noces d'argent (cliquer ici). En 1978, mon père a eu tout juste le temps de vivre leur 30e anniversaire de mariage, allant décéder quelques mois plus tard.

Avant que septembre finisse, voici quelques décès survenus pendant ce mois, dans le passé :

- il y a 5 ans, celui de ma cousine Bernadette (Bedette) Dupuis, épouse d'André Alain (21 septembre 2013) ;
- il y a 25 ans, celui de Marianna (Ti-Na) Pelletier, une cousine de ma mère (27 septembre 1993) ;
- il y a 50 ans, celui d'Augustin (Gus) Gignac, un cousin de mon père (4 septembre 1968).

Bonne élection !
Michel.



jeudi 30 août 2018

Il y a 40 ans, décès d'un oncle.



Le 1er août, nous apprenions le décès de mon oncle Alphonse Alain, beau-frère de ma mère. Sa mort était survenue la journée même. En son honneur, sa photo (datant de 1948) restera pendant un mois en tête de la page d'accueil du blogue.










Parmi les autres événements des mois d'août passés, il y a eu le 29 août 1948 la naissance de mon cousin Jacques Thibault ; c'est donc un anniversaire important pour lui.


Passons à la traditionnelle galerie de photos des vacances estivales du passé.

Commençant par un retour en arrière de 75 ans, ma mère sur cette photo était en chaloupe à Sainte-Thérèse, près de Beauport, le 9 août 1943. Elle accompagnait peut-être une consoeur de la pâtisserie Vaillancourt :



La photo suivante d'il y a 60 ans indique que nous allions parfois passer le dimanche après-midi chez mon oncle Robert Bouchard à l'Ancienne-Lorette. C'était la fin de mes congés perpétuels car j'allais commencer l'école en première année quelques semaines plus tard, en 1958 :


Mon oncle Robert était aussi venu avec nous à Montréal en 1968. Il avait conduit un peu notre auto pour faire reposer mon père. Comme écrit la dernière fois, ma mère et moi avons visité "Terre des Hommes", comme l'illustre cette photo d'il y a 50 ans :



Enfin deux autres petits voyages à Montréal. Il y a 30 ans, avant de s'y rendre, nous avons passé par les Promenades Saint-Bruno (1988):


Et en 1993, notre détour s'est fait par Victoriaville, au Carrefour des Bois-Francs (il y a 25 ans) :


L'été 2018 ne semble pas avoir encore dit son dernier mot. Il est possible que l'Alouette de Québec (cuivre et percussion) de mon cousin Robert Gignac nous réserve des surprises pour septembre, ce qui me fera peut-être participer à une marche de plus !

Michel.

mercredi 25 juillet 2018

Il y a 40 ans, une dernière fête d'anniversaire pour mon père.

Le 26 juillet 1978, mon père fêtait pour la dernière fois son anniversaire de naissance. Ce fut une belle journée pour lui. En effet, son frère Emmanuel est venu lui rendre visite. Et ma mère a eu l'idée d'inviter, pour l'après-midi, ses deux soeurs à elle, Jeanne et Simone, qui est venue avec mon oncle Paulo.

Mon père avait insisté pour que je leur fasse écouter l'audio, sur ruban, de ma mère qui avait parlé à la radio et avait gagné 80 quarante-cinq tours à un concours de l'émission de l'Homme de six millions de souvenirs (Christian Thibault) à CHRC. On en avait ri un coup car elle avait bafouillé, ne sachant comment expliquer qu'elle savait les titres de chansons, que je lui avais en réalité fournis ! Elle s'était faite passer pour ma tante Jeanne, car j'avais déjà gagné 80 disques la semaine précédente.

Cette année 2018, le mois de juillet est spécial pour moi car je suis rendu à peu près à l'âge que mon père a atteint. D'ailleurs un ami poète, Michel Pleau, a écrit un recueil intitulé "J'aurai bientôt ton âge" (Éditions David) car il est dans la même situation que moi cette année.

Dix ans plus tôt, la fête de mon père était tombée la même journée que notre retour de voyage à "Terre des Hommes 68" à Montréal. La photo est prise à la porte de la maison de pensions de Mlle Ponctus. Juste avant de commencer notre voyage, nous avions eu une mauvaise nouvelle : le décès d'Édouard Derouin, époux de Laurette Defoy (soeur de mes tantes Bertha et Gemma), le 23 juillet.

D'autres décès en juillet furent en particulier :
- celui de mon cousin Jean-Marie Gignac, fils de Joseph, le 22 juillet 1993, soit il y a 25 ans déjà ;
- celui de Claude Dumas, neveu de mes tantes Gemma et Bertha, aussi en 1993, plus tôt dans le même mois.

Plus positivement, dans les naissances en juillet, il y a :
- celle de mon cousin Yvon Rhéaume en 1943 qui fête, le 28, un anniversaire important cette année ;
- celle de ma grand-mère Alphonsine Pelletier (que je n'ai pas connue) le 30 juillet 1878 (il y a 140 ans).

Bon, je m'en vais commencer à rassembler les souvenirs de vacances du passé, pour le message d'août.  Bonne fin d'été !

Michel.






samedi 30 juin 2018

La Clique Alouette dans la cour du Collège, il y a 40 ans.

À la Saint-Jean 1978, la Clique Alouette était venue jouer dans la cour du Collège Notre-Dame-de-Grâce, tout près de notre nouveau logement. Mon cousin Robert Gignac a été membre de la Clique et il l'est encore, l'ensemble de tambours et clairons (cuivres et percussions) s'appelant maintenant l'Alouette de Québec.

Robert m'a fait récemment le cadeau d'une collection complète des albums microsillons de la Clique Alouette du Patro Laval. Le premier volume est paru il y a 60 ans, soit en 1958, puis successivement en 1959, 1961 et 1965 pour les autres. Sur les deux premiers disques, je trouve touchant en particulier d'entendre les membres chanter, dans leurs interprétations de "Le chemin du paradis" (des Jérolas), de "Je m'en vais revoir ma blonde" et de l'"Hymne du soir".

Il ne faut pas oublier l'importance des lyres dans la sonorité des patros (et probablement des majorettes) de l'époque, comme le suggère le logo de la Clique. On aurait pu utiliser l'appellation "le Corps de tambours, clairons et lyres de la Clique Alouette" ! Tout ça me rappelle les anciennes parades avec les gardes paroissiales, les patros et les majorettes. Je ne voulais manquer aucune parade, pour voir et écouter les "boum boums"!

Parmi les autres souvenirs de juin, il y avait eu dix ans plus tôt le mariage du frère de Robert, Fernand Gignac, avec Denise Grondin (décédés) ; c'était le 8 juin 1968.

Et il y a 25 ans, ma mère (avec moi) participait aux noces d'or de son amie Gaby Doré et de Rosaire Drolet. C'était comique de voir ma mère dans les honneurs en ce 26 juin 1993 !


Tristement, les autres événements sont des décès :
- il y a 5 ans, le décès de Jean-Louis Defoy (frère de mes tantes Bertha et Gemma et de mon cousin Albert) : le 16 juin 2013 ;
- il y a 30 ans, le décès d'une autre amie de ma mère, Fernande Lachance : le 16 juin 1988 ;
- il y a 100 ans, le décès de Louis Pelletier, grand-père de ma mère : le 9 juin 1918.

Pour revenir à l'Alouette de Québec, Robert m'a annoncé que le défilé des Fêtes de la Nouvelle-France, où elle constituait fièrement l'attraction de fermeture, est annulé cette année. Dommage car c'était une activité que la population de Québec appréciait particulièrement. Bon été quand même !

Michel.

vendredi 15 juin 2018

Le gros lot à la Fête des pères d'il y a 40 ans !

Un peu comme pour la Fête des mères, mes parents avaient participé à la soirée à la salle paroissiale Notre-Dame-de-Grâce, la veille de la Fête des pères de 1978. Quand je suis allé les rechercher en auto, vers 1 heure de la nuit, ils m'ont appris que mon père venait de gagner le gros lot des prix de présence ! Les cadeaux consistaient en un presse-jus, un certificat de 100$ pour des lunettes, 50$ en argent et un petit téléviseur noir et blanc. C'est moi qui ai hérité tout de suite de ce dernier, car je n'en avais pas encore dans ma nouvelle chambre-bureau ! (Sur la photo, on le voit dans le salon, où il s'est retrouvé par la suite.)

Mon père était chanceux dans les tirages. Par exemple, il avait déjà gagné 500$ pour un billet gagnant collectif de Loto-Québec. Au contraire, ma mère et moi n'avons jamais été vraiment chanceux, n'ayant jamais rien gagné de plus de 100$ de valeur ! Par contre mon père était beaucoup moins privilégié au point de vue de la santé, comme c'était le cas il y a 40 ans.

Le dimanche même de cette Fête des pères, le temps fut pluvieux. Heureusement mon oncle Albert Gignac et ma tante Gemma Defoy sont venus passer la soirée, faisant ainsi leur première visite à notre nouveau logement.

La photo de mon père, en haut de l'escalier arrière de nos voisins du second étage, les Drolet, aux 40 et 42 Arago Ouest, a été prise cinq ans plus tôt, aux alentours de la Fête des pères de 1973.

Sur ce, il me reste à vous souhaiter une autre fête mémorable !


Michel.

jeudi 31 mai 2018

Mai, l'ancien mois des déménagements

Il y a 40 ans, après avoir résidé pendant environ 25 ans au 42 Arago ouest, nous déménagions dans un logement de la maison de Bruno Gignac, cousin de mon père, au 463 Franklin. C'était le 2 mai 1978. Il ne restait à déménager que les meubles. Les déménageurs étant en retard, je n'avais pas pu être sur les lieux, ayant un cours à donner au Cégep. Quel dépaysement ce fut lors de ma première arrivée au nouveau logement meublé !


J'ai déjà parlé de la veillée paroissiale de la Fête des mères 1978 à laquelle avaient participé mes parents. Mais dans la première semaine de mai, lors des noces d'or d'anciens voisins et amis de mon père, M. et Mme Gaudias Beaulé, mon père avait pu, encore là, danser à son goût, sa jambe artificielle ne lui faisant pas mal ! Il s'adaptait assez bien au nouveau logement, même si c'était un deuxième étage. Il descendait s'asseoir dans le passage mitoyen et même sur le trottoir. Comme une quincaillerie était proche, celle de Charles-N Paquet, des clients devaient sans doute venir parler à mon père.


Dix ans plus tôt, c'était ma tante Simone Thibault et sa famille qui déménageaient, un premier mai cette fois-là, depuis la rue Dieppe jusqu'à la rue Dollard. Mes parents étaient allés leur aider. Je n'avais pas eu l'occasion d'y participer non plus, ayant ce soir-là de 1968 beaucoup de leçons à apprendre et un travail long de géographie à faire progresser de façon urgente.

Parlant d'anniversaire de mariage, le 25 mai de cette même année d'il y a 50 ans, c'étaient les noces d'argent de mon oncle Albert Gignac et ma tante Gemma Defoy.

Plus près de nous, il y a 10 ans décédait ma cousine Francine Gagné, épouse de Réjean Gignac ; le décès eut lieu le 21 mai 2008 et les funérailles le 31. Le 7 du même mois nous quittait Simone Savard (Dignard), soeur de ma tante Jeanne-D'Arc.

Bonne fin d'année régulière avant les vacances !

Michel.

samedi 12 mai 2018

Fête des mères de 1978

Il y a 40 ans à la Fête des mères, nous venions de déménager. Mes parents avaient visité ma tante Jeanne Bouchard, soeur de ma mère. Mais dans la paroisse Notre-Dame-de-Grâce, la Fête fut célébrée le samedi suivant. Depuis le 50ième anniversaire de NDG en 1974, les samedis étaient souvent l'occasion de soirées de danse dans la salle paroissiale. À cette veillée de la Fête des mères de 1978, mon père a pu danser et s'amuser comme jamais, malgré son handicap à une jambe, sans que ça lui fasse mal ! La Fête des pères lui réserverait une surprise encore plus grande ! (à suivre)

La photo date de 30 ans. Dans cette période autour de 1988, nous avions un voisin botaniste en herbe (excusez le jeu de mot) qui aimait fleurir notre cour commune.

Enfin comme chanson de ma mère pour l'occasion, je propose "Quand il fait beau, l'on se promène" :

https://www.4shared.com/mp3/dgW0slgYee/Blanche_chante_Quand_il_fait_b.html

J'ignore où elle était allée chercher cette chanson, car actuellement je n'en trouve absolument aucune trace dans toute l'étendue d'internet !

Je vous souhaite une bonne promenade de la Fête des mères, puisqu'il fera beau !

Michel.

dimanche 29 avril 2018

Il y a 5 ans, une broderie de ma grand-mère Pelletier m'était remise.

En avril 2013, Michel Picard, un fils de "Fonsine" Pelletier, cousine de ma mère, me faisait parvenir une broderie de ma grand-mère Alphonsine Pelletier. Elle l'avait probablement fabriquée avant son mariage de 1903, car elle n'aurait pas eu le temps, à mon avis, de broder cette oeuvre après la naissance d'un premier enfant. Pour relire la petite histoire de cette broderie, veuillez cliquer sur le lien suivant :

http://michelgignac.blogspot.ca/2013/04/une-revelation-sur-ma-grand-mere.html

Je répète mon offre de la remettre à mon tour à une personne intéressée, autant que possible membre de la parenté, qui puisse continuer à perpétuer la possession de ce précieux souvenir. (S.V.P. communiquer avec moi.) J'ai numérisé une petite portion de l'ouvrage, car je n'ai pas d'appareil-photo pouvant le montrer dans son ensemble ; il peut facilement servir de couvre-lit :




Avril c'était aussi, il y a 40 ans, les préparatifs pour notre déménagement de la rue Arago vers 463 Franklin, fixé au début de mai 1978. Nous avions pu  transporter à l'avance nos possessions, excepté les gros meubles. Mon père, handicapé d'une jambe, disait se sentir "un membre inutile" de la famille, même si ma mère et moi avions beau lui répéter qu'il était essentiel que quelqu'un comme lui reste près de l'auto afin d'éviter de se faire voler.

Toujours en avril, il y a eu il y a 50 ans le décès de Rolande Savard, soeur de ma tante Jeanne-d'Arc. C'était le 8 avril 1968.

Bientôt, le message de la Fête des mères, pour laquelle ma mère prépare déjà sa chanson de circonstance (au figuré) !

Michel.

dimanche 1 avril 2018

Toute dernière veillée des Gignac en 1968 (avant les années 80)

On disait parfois que les anciennes veillées des Gignac pouvaient s'étendre jusqu'à des samedis après Pâques, à cause d'une pause pendant le carême. Il y a 50 ans, ce ne fut pas le cas pour la toute dernière veillée des Gignac, avant un retour occasionnel à partie de 1988. C'était le 9 mars 1968, chez mon cousin Gaston Gignac. J'avais apporté mon accordéon ! Une discussion portait sur Pierre-Elliott Trudeau, qui allait être élu, un mois plus tard, chef du Parti Libéral et, par conséquent, nouveau premier ministre du Canada. Le fait marquant pour moi fut le film que Gaston nous montra, où on voyait des extraits de la veillée chez lui de l'année précédente. Il y a quelques années, mon rêve de revoir ce vidéo fut réalisé quand Gaston me le prêta. Quelle émotion que de revoir tous ces oncles et toutes ces tantes, de même que cousins et cousines ! Cliquer sur le lien suivant pour visionner ce film de 1967 :

https://www.4shared.com/video/Yvb2LSqeea/veille_chez_Gaston_Gignac_janv.html?

De la fête de Pâques de cette année 1968 (14 avril), le principal souvenir que j'ai conservé est l'épisode de la série télévisée "Au coeur du temps" du retour à l'année où la comète de Halley frôla la Terre.



Voici d'autres événements en mars pour des années finissant par un "3" ou un "8" :

1918 : le 28 mars naissait mon oncle Jean-Marie Gignac.
1938 : Jerry Jeffrey, alors conjoint de ma cousine Murielle Gignac, naissait le 20 mars.
1943 : photo datant de 75 ans de mon oncle Alphonse Alain sur sa galerie avec ses enfants Jean-Guy, André et Roger, si je ne me trompe pas.



2008 : une cousine de mon père, Simone Bélanger, épouse de Raoul Myrand, décédait.
2013 : le 2 mars ma cousine Liliane Gignac était fêtée (photo) pour un anniversaire important ; elle en a donc fêté un autre important cette année !



2018 : ce mois-ci (le 6 mars) est décédé Paul Fournier, grand-père de Caroline Gignac, fille de mon cousin Gilles.

Le mois de mars se termine et voilà que Pâques arrive, de même que le Poisson d'avril ! Y a-t-il un lien entre ces deux "fêtes" ? C'est peut-être que les premiers Chrétiens avaient comme symbole un poisson (ichthus, en grec). Bonne fin de congé pascal !

Michel
(merci à Gaston Gignac et Denise Boies, Robert Gignac et Bérangère Roussin)

mercredi 28 février 2018

Dernières veillées des Gignac, en 1968, et décès de tante Jeanne-D'Arc en 2013

Il y a 50 ans se tenaient les dernières veillées des Gignac. Mon oncle Lucien avait donné la sienne le 27 janvier 1968, mon oncle Jean-Marie 17 février, mon oncle Joseph le 24 février et mon cousin Gaston le 9 mars. Quant à nous, nous recevions la parenté le 3 février. J'avais enregistré avec mon magnétophone plusieurs segments de la soirée. On peut les écouter, en résumés, par les liens suivants :

1) L'arrivée de Jean-Marie et Bertha (Defoy) :
https://www.4shared.com/mp3/SXxzxi-qei/Veille_de_68_1_arrive_doncle_J.html
2) L'arrivée de Joseph, Lucien et Lucienne (Richard) et d'Emmanuel et Jeanne-D'Arc (Savard) :
3) Une longue discussion sérieuse sur la religion et la mort. Les 5 frères Gignac prédirent entre autres l'âge de leur mort (ils ont été assez exacts dans leurs prédictions). J'ai laissé l'enregistrement intact, sans retouches ni coupures :
4) Les frères chantèrent "Le Noël d'Italie" et mon oncle Joseph nous quitta :
5) Le départ des autres invités :

Un autre anniversaire important en février est celui du décès de ma tante Jeanne-D'Arc il y a 5 ans, soit le 12 février 2013. Sa photo (qui date de 1951) sera en tête de la page d'accueil pendant le mois. 

D'autres décès sont survenus plus tôt :

- Yvette Duperron, cousine de mon père et épouse de Bruno Gignac, décédait il y a 25 ans, vers le 19 février 1993.

- La mère de cette dernière, Georgianna Doyon, décédait cinq ans plus tôt, vers le 26 février 1988.

- Raoul Myrand, cousin de mon père, nous quittait aussi en 1988, vers le 2 février.


Toujours il y a 30 ans, une veillée des Gignac avait lieu au Patro Laval, organisée par les enfants de mon oncle Joseph, en présence de ce dernier, le 13 février 1988.

Enfin de notre côté il y a 40 ans, mes parents signaient un bail avec leur cousin Bruno Gignac, en vue de notre déménagement subséquent en mai. Je n'avais pas encore visité le logement mais je leur faisais confiance.

Michel.
(Par hasard, il n'a été question ici que de la parenté de mon père. On se reprendra bientôt pour la parenté de ma mère ! )


mardi 30 janvier 2018

Un cousin de mon père décédait en tant que pompier, il y a 50 ans.

Le début de janvier 1968 avait été marqué par un incendie au cours duquel périt un cousin de mon père, Roger Rochon, pompier et époux d'Olivette Gignac. Alors qu'il combattait les flammes lors d'un incendie (photo) d'une maison sur la rue Saint-Pierre logeant le restaurant Pierrot Café, déclenché dans la nuit du 2 au 3 janvier, il fut victime d'une crise cardiaque.



Olivette était la fille d'Eudore Gignac, lui-même frère de Bruno, René, Thérèse, Véronique et Gabrielle Gignac, tous enfants de Joseph Gignac et Marie Girard. Les frères et soeur de Roger Rochon étaient Léopold, Françoise et Jean-Pierre, tous enfants d'Arthur Rochon, qui a été marguillier dans la paroisse Notre-Dame-de-Grâce. La photo permet probablement de voir Arthur Rochon avec son épouse (Alexandrine Blouin) et ses enfants.


Roger Rochon a eu l'honneur d'être sujet de funérailles civiques, célébrées à l'église de Notre-Dame-de-Grâce le samedi 6 janvier 1968, en présence d'une délégation de nombreux pompiers.

Une autre mort a marqué le mois de janvier, dont l'anniversaise est un "chiffre rond" : celui de mon cousin Pierrot Bouchard, dont la date de décès est restée indéterminée et dont les obsèques eurent lieu le 13 janvier 1993, donc il y a 25 ans.

À l'opposé, un frère de Pierrot, Jean-Paul Bouchard, naissait il y a 80 ans, le 9 janvier 1938.

Une autre naissance dans la famille Bouchard a été célèbre. En effet il y a 20 ans, Sandra Aubut épouse de François Bouchard, fils de mon cousin Jacques, donnait naissance à Florence Bouchard, premier bébé de l'année 1998 à Québec !

Bon Carnaval !
Michel.




mardi 9 janvier 2018

Chants par ma mère, qu'on ne trouve pas dans internet

Pour la date d'anniversaire de ma mère, le 11 janvier, j'ai pensé partager des chansons ou cantiques, relativement bien connus, qu'elle a chantés mais qu'on ne trouve nulle part dans internet inexplicablement. Je commence par un cantique de Noël : "Ô divine enfance" :

https://www.4shared.com/mp3/DQf7pxFjca/Blanche_chante__Divine_Enfance.html

(Si vous trouvez un enregistrement de ce chant, s'il vous plaît me le faire savoir.)

Voici aussi une photo datant de 20 ans, soit du 11 janvier 1998 qui coïncidait cette année-là avec la date où sa filleule Julie Thibault était fêtée. Je pense qu'on voit le moment où Julie donnait un cadeau à sa marraine !

J'ai déjà décrit une journée de fête de ma mère, datant maintenant d'il y a 50 ans. On peut relire ces "aventures" du 11 janvier 1968 en cliquant sur ce lien :

https://michelgignac.blogspot.ca/2016/01/un-anniversaire-mouvemente-pour-ma-mere.html

D'autres audios de ma mère suivront au cours des mois.

Michel.